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 Enyinnaya Feinyx

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AuteurMessage
Enyinnaya Feinyx
Dangereux trafiquant de moutons.
Enyinnaya Feinyx


Messages : 26
Date d'inscription : 24/04/2010

Enyinnaya Feinyx Empty
MessageSujet: Enyinnaya Feinyx   Enyinnaya Feinyx Icon_minitimeJeu 22 Juil - 21:05

Nom: Feinyx
Prénom: Enyinnaya
Surnom: Personne ne lui en a encore donné, mais il se souvient vaguement que ses parents l'appelait parfois Eny lorsqu'il était plus jeune.
Pseudonyme: le plus courant est Alaric Browning
Date de naissance: 3 Février
Âge: Mais l'âge de qui ? Alaric ou Enyinnaya ? Alaric a 19 ans, mais notre mafieux a fêté ses 23 ans en février dernier.
Nationalité: Australien

Physique:
Un superbe corps d'athlète surmonté d'une magnifique tête d'Apollon, telle est la manière la plus simple et la plus courte de décrire le jeune homme. Mais la simplicité et la brièveté ne constituent en rien quelque chose d'intéressant, autant dans la vie que pour faire une description. En effet, dans une description aussi bien physique que psychologique, ce que l'on veut ce sont des détails. Oh ! pour ça, des détails vous allez en avoir. Revenons-en donc au visage du jeune mafieux. Des boucles blondes retombant nonchalamment sur ses épaules musclées et devant ses yeux couleur Pacifique, un nez droit, parfaitement proportionné, au milieu de ses traits délicats rappelant les aristocrates Anglais. Et ses lèvres . . . Rouges, pleines et douces. Aventureuses, aussi. Un visage de rêve faisant fantasmer de nombreuses femmes, il faut l'avouer. Autant dire que notre cher Eny n'a pas besoin de forcer pour mettre lesdites femmes dans son lit, d'autant plus que son corps n'a rien à envier à son visage. Un mètre quatre-vingt de muscles parfaitement dessinés, mais sans excès. De quoi avoir de belle tablettes de chocolat en guise d'abdominaux, s'entend. Les rares cicatrices qui parsèment son corps ne sont pas spécialement dignes d'intérêt, mais elles sont présentent alors en voici quelques détails. Une balle reçue dans sa clavicule gauche y a laissé sa marque, de même qu'une blessure au couteau au niveau de ses troisième et quatrième côtes droites. Voilà pour le côté épique de la chose. Un genou brisé dans son enfance lors d'un accident stupide lui a tout de même laissé une trace indélébile, ainsi qu'une morsure à l'avant-bras gauche peu de temps avant. Non, ce pauvre gars n'est pas spécialement poissard. Cependant, ces quelques cicatrices ne sont pas les seules marques qui parcourent son corps. En effet, un phœnix s'étale sur son pectoral gauche, s'étendant jusqu'à sa clavicule et son ventre.
Côté vêtements, il porte la plupart du temps une chemise noire avec un jean foncé mais il peut tout aussi bien mettre un costume lorsqu'il le faut. Sa règle d'or lorsqu'il s'agit de vêtement: toujours classe, même décontracté.
Il faut aussi savoir qu'Enyinnaya peut aussi bien avoir l'air du mafieux de base, sadique et qui sait ce qu'il veut, totalement froid et distant, que d'un gosse adorable et des plus angélique capable d'amadouer à peu près n'importe qui du moment qu'il l'a décidé. En fonction des cas, ses yeux s'adaptent donc parfaitement à chaque situation. Son registre de regards est des plus fournis et va de l'œillade charmeuse les soirs de cocktails jusqu'à l'air d'enfant de coeur pur et innocent en passant par le regard empreint d'une colère absolue et glaciale. Par ailleurs, lorsque ses yeux, habituellement d'un bleu placide, profond, virent au gris orageux, ce n'est jamais bon signe . . .
Mais ne vous fiez pas aux apparences. Enyinnaya est loin d'être un jeune homme pur et innocent, bien au contraire.


Psychologie:
Les apparences sont souvent trompeuses, et c'est effectivement le cas de notre cher Eny. Sous ses airs d'ange adorable et inoffensif se cache un être beaucoup moins reluisant. Pervers au possible, le jeune homme ne rate jamais une occasion de s'envoyer en l'air avec la première femme qui lui plait et qui a le malheur - enfin, ça, ça dépend du point de vue, s'entend - de passer à porter de sa main.
En plus d'être un sacré coureur de jupons, avoué et fier de l'être, lorsqu'il revêt son état d'esprit de mafieux, notre jeune pervers révèle sans complexe un cerveau manipulateur aussi froid que sadique. Par ailleurs, il ne s'énerve que très rarement, voire presque jamais et, lorsqu'il lui arrive de l'être, mieux vaut se trouver loin, très loin de lui parce que personne de normalement constitué ne voudrait être dans les parages d'Enyinnaya durant l'une de ses célèbres colères glaciales. On dit que ce genre de colère est la plus terrifiante qu'il soit . . . Eh bien, ce ne sont pas les gens qui ont vu le jeune Eny énervé qui vous diront le contraire. D'ailleurs, la plupart d'entre eux ne sont plus de ce monde pour en parler, en fait. Les disparitions font partie des plus grands hobbies du mafieux, il faut l'avouer. Au nord de la Russie, au sud de l'Australie, au milieu de la forêt amazonienne ou du désert saharien, il serait impossible de citer tous les lieux où les corps disparaissent à la demande du blondinet.
Enfin, je pense que vous aurez compris qu'il ne faut, sous aucun prétexte, sous-estimer Enyinnaya et le considérer comme un simple mollusque au cerveau atrophié, sans autre intérêt que la musculation (ce qui, d'ailleurs, ne l'intéresse absolument pas. Pas son genre de sport, vous voyez ?) et les femmes (ah, là, par contre, c'est important. Mais son boulot passe toujours avant.) mais comme un mafieux pour jus. Il a grandit dans ce milieu et y mourra, dans plusieurs années et avec, si possible, un gosse à mettre à sa place. Parce que les Feinyx règne sur la mafia australienne de génération en génération et ce depuis des siècles. Et Enyinnaya ne sera jamais, au grand jamais, le premier à déroger à cette règle.


Histoire/test RP

Je n'ai jamais su d'où venait mon prénom. Enfin, il est d'origine aborigène et c'est mon père qui l'a choisi. Parlons un peu de lui, tiens. Ayaana Feinyx, mort à cinquante ans d'un cancer du poumon. J'avais dix-sept ans lorsque la maladie a finalement vaincu mon père, et j'ai repris "l'entreprise familiale" la même année. Dans ce métier, nous commençons peut-être jeune, mais nous ne finirons jamais vieux. Enfin, toujours est-il qu'à dix-sept ans, j'étais à la tête de la mafia australienne. La famille Feinyx règne en maître sur celle-ci depuis des siècles, de père en fils, et il était hors de question que je sois le premier à ne pas reprendre le flambeau. C'est donc malgré les protestations de ma mère, elle-même mafieuse jusqu'à la moelle et qui sait donc parfaitement ce que je risque - que j'ai repris la place de mon père. Pendant près de sept ans il m'avait servit de mentor. Enfin, au début, ce n'était rien de bien méchant: quelques techniques de manipulations, des cours de politique et d'économie. Pas grand-chose de passionnant au demeurant. Ce n'est qu'après qu'il m'a réellement plongé dans la réalité de la mafia: le sang, les armes, l'argent, la suspicion et la haine. Tant de choses fascinantes pour le gamin que j'étais. J'avais retenu la moindre des paroles de mon père. Les règles de bases comme démonter et remonter une arme. L'une des premières règles qu'il m'a enseigné est aussi l'une des plus importantes: ne jamais accorder trop d'importance et de confiance aux gens. C'est aussi la première que j'ai décidé d'enfreindre.


Alice Springs, Northern Territory, Australia - Novembre 2007

Deux ans plus tard, j'étais en voyage d'affaires en plein cœur du continent. Alice Springs, grande ville d'Australie, se trouve exactement sur le Tropique du Capricorne, et je peux vous dire que là-bas, l'été est particulièrement torride et humide. La chaleur vous étouffe, se colle à votre peau comme pour vous inciter à partir, ou tout du moins, vous réfugier dans un endroit climatisé. A chaque fois que j'y retourne, je m'installe à ce bar où tout à déraillé.
Elle s'appelait Alice. Alice Springs. Oui, oui, comme la ville où nous nous trouvions. Enfin, c'était un nom courant mais cela m'avait fait sourire. En même temps, je suis incapable de dire s'il s'agissait de son vrai nom ou d'une identité soigneusement étudiée, au passé inventé de toutes pièces mais pourtant si réel. Elle ne dépassait pas le mètre soixante-cinq, son teint pâle étaient hâlé par le soleil australien, et ses cheveux noirs retombaient devant ses yeux gris, toujours entre la joie et le rêve. Nous avions bu ensemble, accoudés à ce bar pendant près d'une heure, avant que notre devoir respectif ne nous appelle, puis nous nous étions revus plusieurs fois lors de mon séjour, qui dura plusieurs mois. Finalement, je la ramenais dans mes bagages à Sydney où elle a emménagé avec moi. Jamais il ne m'est vu à l'esprit que c'était une mauvaise idée, où, si ça avait été le cas, j'avais du chasser bien vite ces pensées parasites. Bien mal m'en a pris.

Quelque part au Japon, île de Kyushu - Février 2009

Ma tête tournait inlassablement depuis dix bonnes minutes. Apparemment, les cachet que m'avait fait avaler Alice ne faisaient plus effet. J'aurais du me douter que quelque chose d'anormal se tramait, depuis quelques temps. Les tensions entre le crime organisé australien et les yakuza n'avaient cessé de s'intensifier depuis plusieurs semaines que nous nous disputions l'Indonésie. Et vu l'homme qui se tenait devant moi, je n'étais plus sur mon territoires mais chez les Japonais.
Je vais vous passer les heures d'attente et de douleur qui suivirent mon réveil. J'étais d'ailleurs surpris qu'ils ne m'aient pas simplement fait disparaître, mais maintenant que j'étais à leur merci, je comprenais qu'ils veuillent d'abord des informations. On n'a pas quelqu'un comme moi sous la main très souvent. Plus j'y pense, et plus je me dis que j'aurais du écouter mon père et me méfier d'Alice, mais bon . . . J'étais encore jeune et bête. Non pas que je ne le sois plus, mais un peu moins. Après cet épisode douloureux de ma vie, je n'ai plus eu aucune relation "sérieuse". Une fois m'a suffit.
Pour en revenir à cette nuit là; mes hommes sont tout de même venus me chercher. Ce fut laborieux, mais ils ont réussi à me récupérer avant que je ne me prenne autre chose qu'un coup de couteau dans les côtes suivit d'une balle dans la clavicule peu de temps avant qu'ils n'arrivent. Heureusement qu'ils sont bien entrainés, parce que sinon je n'aurais pas donné cher de ma peau.

The Bronx, New York City, USA - Décembre 2009

Je l'avais finalement retrouvée. Alice, ou quelque soit son nom, se trouvait devant moi, terrorisée.

__ S'il te plaît, Eny, ne fais pas ça . . .

Assise sur le lit miteux d'un hôtel tout aussi insalubre, la femme que j'avais aimé pendant plus d'un an me suppliait de l'épargner.

__ Ne pas faire quoi, Alice ? Ne pas te droguer pour te livrer sur un plateau d'argent aux Yakuza ? Non, ce n'est pas mon genre. Oh mais j'y pense, c'est ce que tu as fait.

Cela faisait longtemps que mes yeux avaient viré au gris, et une colère froide grondait en moi depuis bien plus longtemps encore. Sa trahison avait réveillé cette colère pourtant si effacée, d'habitude.

__ Je suis désolée, et tu le sais ! Je ne voulais pas faire ça, je t'aimais vraiment . . . Jamais je ne t'ai menti là-dessus.

Ses joues ruisselaient de larmes, mais mon moi mafieux avait pris le dessus dès que j'avais entrepris ces recherches. Sur ce coup là, j'avais été impitoyable, et avais finit par l'abattre d'une balle dans le crâne. Mes hommes se sont occupé de la disparition du corps juste après que je sois sorti de l'hôtel.

Dublin, Irlande - Février 2010

Ah, mon premier pas sur le sol irlandais . . . Je m'en souviendrai toute ma vie, de ce jour-là. Le froid glacial et humide s'infiltrait sous mes vêtement tandis que je quittais l'aéroport avec James, mon nouveau garde du corps. James sortait de l'académie de Madame Ko, je ne pouvais rêver de mieux. Enfin, je l'abandonnais rapidement, à son plus grand dam car, une fois arrivés à mon nouvel appartement, je le laissais se charger de nos affaires respectives pour enfourcher la moto que j'avais déjà envoyée.
Je ne respecte jamais les limitations de vitesse. Enfin, rarement, disons. Mais ce jour-là ne faisait pas partie des rares jours où je ne dépassais pas les limites. Je passais en trombe dans les rues pour sortir de la capitales et accélérait encore une fois parvenu dans les landes irlandaises. Tout de vert et de gris, ce pays me changeait brutalement de mon Australie natale aux paysages désertiques et arides.
Je passais plusieurs heures à errer ainsi au milieu de ses étendues vertes avant de retourner à Dublin. Un rapide passage dans Temple Bar tout de même pour boire "quelques" verres (j'ai toujours eu une étonnante résistance à l'alcool) et trouver de la compagnie. Je rentrais finalement chez moi avec une charmante demoiselle.

Dublin, Irlande - Juillet 2010

Cela fait maintenant plus de cinq mois que je me suis éloigné de l'agitation australienne pour diriger mes affaires depuis Dublin, et je ne peux pas m'en plaindre. Je n'ai eu aucun problème, que ce soit avec la mafia ou les
gardai irlandais, et rien ne vient perturber ma tranquillité. Enfin si, quelques femmes de temps en temps mais rien de bien méchant. Je me demande tout de même combien de temps je vais encore attendre avant de retrouver le soleil et l'océan australiens.

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