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 Tsuki Chimigaï

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2 participants
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Tsuki Chimigaï

Tsuki Chimigaï


Messages : 2
Date d'inscription : 23/07/2010

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MessageSujet: Tsuki Chimigaï   Tsuki Chimigaï Icon_minitimeVen 23 Juil - 23:33

Vingt-deux heure, heure locale. Dans son bureau, au milieu de toute sorte de papier, journaux, dossier soigneusement rangés, Shen-Nung relisait les demandes envoyés par faxe à son centre d’adoption. Situé à Shangaï, le téléphone sonnait sans cesse, tant dans son bureau que dans celui de son assistante. Les petits étaient déjà couchés depuis maintenant une heure trente. Le plus jeune avait quelques mois, la plus âgée avait à présent 13 ans. Tous des petits anges aux yeux bridés. Soupirant doucement, Shen-Nung reposa la lettre d’une famille très motivée. Se frottant les yeux sous ses lunettes, il se leva et s’étira. Ses yeux chavirant sur les épais dossier présent dans son bureau, il lu le nom des enfants adoptés, du plus récent au plus ancien. Feng, Jun, Chih-Nii, Manchu, Tsuki, Rong, Dayita, Devahuti, Shubhra, Aiko, Chiyo… Tellement d’enfants étaient déjà passé par là. Chacun d’eux évoquaient un infime souvenir dans l’esprit de Shen-Nung. Infime… peut-être un peu plus. Du moins, pour l’une d’entre eux. Profitant de ce paisible et libre moment, Shen-Nung prit entre ses mains le dossier de la petite Tsuki. Marchant tranquillement vers sa chaise de bureau, il dépoussiéra et reluqua le vieux document. Sur la couverture, derrière une fine feuille transparente de protection, les lettres fines écrites à la main annonçait le prénom de l’enfant qui rappelait tant de souvenir à ce directeur : Tsuki Chimigaï. Arrivée au centre d’adoption vers fin 1993. S’installant confortablement sur sa chaise, il alluma sa lampe de bureau et, sous les cris lointains de la civilisation de Shangaï, ouvra la porte à ses souvenirs.

Centre d’adoption CCAA de Shangaï
Dossier n° 00475026B

Nom : ?
Prénom : Tsuki
Sexe : Féminin
Date de naissance : 13 juillet 1993.
Parents : Décédés.
Arrivée : 19 décembre 1993, retrouvée seule dans la maison de ses parents décédés dans un mystérieux accident.


La photo jointe montre un nourrisson aux yeux encore fermés, les cheveux courts et noirs. Une vraie petite poupée. La suite fût écrit par le directeur lui-même, comme tous les dossiers depuis maintenant 20 ans.


19 décembre 1993 : La petite est en mauvais état. Rien ne nous assure que nous la garderons longtemps ici, un séjour à l’hôpital sera peut-être nécessaire. Elle est maigre, a la peau très pâle et est très faible.

1er janvier 1994 : Merveilleux cadeau pour la nouvelle année, la petite Tsuki est guérie, elle mange et boit normalement, joue avec les autres enfants et s’est très vite adapté à son nouveau chez-soi.

22 février 1994 : La petite Tsuki à bien grandi. Ses cheveux noirs de jaie sont lises et longs, ses yeux sont très foncés et bridés, sa peau, bien qu’encore très claire, a repris des couleurs, et sa corpulence est très fine.

13 juillet 1994 : Tsuki fête sa première année. Elle se porte bien, est très câline, n’a peur de rien et bouge beaucoup.

28 octobre 1994 : Un couple pense avoir trouvé son bonheur dans les yeux de la petite Tsuki. Vu juste en photo. Rencontre dans 5 mois.

19 décembre 1994 : Un an que Tsuki est au centre. Tout, ou presque, se passe bien. Beaucoup de migraine et de cauchemar. Physiquement, rien à signaler, la petite a beaucoup grandi.

11 mars 1995 : Les nombreux cauchemars de Tsuki m’oblige à la garder près de moi la nuit. Elle grandit normalement, a une alimentation varié, fait beaucoup d’exercice et s’est fait pleins d’amis. Elle s’intéresse à tout, pour le plus grand malheur de ma jeune secrétaire qui se voit obligé de garder un œil attentif aux faits et gestes de la petite.

14 mars 1995 : Première rencontre avec la famille. La jeune Tsuki a l’air de se sentir bien parmi eux. Une femme française et un homme japonais, noble, généreux et aux revenus élevés. La famille parfaite.

Le 16 août 1995 : . La petite a 19 mois. La mère adoptive, Mary, est douce, la trentaine, grande aux cheveux blonds. Le père, Hideki, à l’apparence plus dure, la trentaine aussi, est brun et grand. Je les informe une dernière fois des nombreux cauchemars de l‘enfant, puis la petite famille s’en va à jamais du centre. Tsuki détient à présent une identité. La petite s’appellera désormais Tsuki Chimigaï.


Shen-Nung souriait en lisant ces lignes. Il ne se rappelait que trop bien de cette petite et de toutes ses nuits réveillé par les cris horrifiés de l’enfant. Seul dans son bureau, le directeur se demandait ce qu’a présent, la petite Tsuki était devenu.

A des centaines de kilomètres de là, Tsuki marchait sur le bitume d’une rue que le soleil brûlait. La petite poupée avait disparu pour laisser place, 15 ans plus tard, à une jeune femme. Cheveux au vent, les écouteurs enfoncés dans les oreilles, on entendait le bruit étouffé d’une guitare enragée. C’était ainsi que Tsuki aimait la musique. Forte et violente. Surement parce qu’elle se retrouvait dans ces airs à déchirer les tympans. Oublié la petite fille sage aux grandes robes roses. Perdu le petit bout de chou qu’on veut absolument embrasser sur ses deux grosses joues bien rouges. Celle que nous avons en face de nous a bien changé depuis sa tendre enfance. Passant du rose au noir, cheveux longs, caractère de rebelle. La taille aussi a changé. Et heureusement, que serait une femme si elle avait encore sa taille de bébé ? Une naine… Mais Tsuki est loin d’être une naine du haut de son mètre soixante-dix. Toujours et encore perchée sur talon, sa robe a froufrou embellie de studs, épingle et autres, ainsi que son haut déchirés dont plusieurs petites croix pendent si et là à de fines chaines montre clairement son style décalé de « punk lolita », dont elle s’est inspiré de tous ces idoles venant du pays de son cœur, le Japon. Avançant avec détermination sous le soleil français, elle se dirigeait d’un pas léger et assuré vers le modeste manoir, propriété de ses parents adoptifs. Un coup de fil quelques minutes plutôt lui avait demandé de rentrer au plus vite. Tsuki ignorait la raison de cette précipitation, rare pour un samedi. Pourtant, elle ne s’en inquiétait pas plus qu’il n’en fallait, elle pensait à un nouveau cadeaux, à l’arrivage d’une de ses commandes de vêtements ou encore à une de ses tantes qui passait boire le thé et à qui il fallait dire bonjour. Sonnant à la grille qui s’ouvrit presque immédiatement, Tsuki entra, et suivit l’allée qui serpentait vers le porche, suivit de près par Saphir, le labrador de la famille. A peine le temps d’arrivé dans l’entrée que son père, Hideki, l’emmène vers le bureau, la tenant par la main, souriant comme rarement il a sourit. N’ayant « pas le temps de répondre » aux questions de sa fille, ils arrivèrent vite devant l’ordinateur de ce dernier, ouvert sur l’image d’une magnifique demeure.

- Oui et alors ?

Après tout, des manoirs, il y en avait des milliers en Europe, alors pourquoi montrer celui là en particulier à Tsuki ? Et pourquoi s’être autant précipité pour… ça ?

- Et alors ? Et bien, voici notre nouveau chez-nous.

Hideki avait l’air franchement content, fier d’avoir enfin acquis la demeure de ses rêves. Du côté de Tsuki, la joie n’était pas vraiment la même. Tant de question se bousculait dans sa tête qu’elle ne savait pas par où commencer.

- On part quand, où et … ?

N’étant pas sûre qu’un « pourquoi » soit bien placé, elle s’abstenu et remplaça cette dernière question par un « comment ». Malheureusement, la réponse n’enthousiasma pas du tout la jeune femme. Deux mois plus tard, après tant de nuits à faire tellement de cauchemar sur ce changement de vie, tout était prêt. Les papiers signés, les meubles commandés étaient arrivés au manoir irlandais, le majordome les attendait, les valises étaient bouclés. A l’aéroport de Roissy, voyage en première classe, Tsuki retenait ses larmes amères. Pourquoi… Toujours cette question qui lui brûlait les lèvres. La France n’était-elle pas assez bien pour eux ? Un manoir et trois résidences secondaires ne suffisaient plus ? Pourquoi partir en Irlande alors que le bonheur leur souriait là où ils étaient. Mary et Hideki attendaient avec impatience le départ vers cette nouvelle aventure. N’y avait-il que Tsuki qui se rendait compte de la perte que ce changement de vie engendrait ? Le peu d’amis qu’elle a sont ici, son lit, sa chambre, sa salle de bain se trouve dans le manoir dans lequel elle a grandi. Elle sait ce qu’elle perd, mais qui peut savoir au profit de quoi ? Le cœur lourd, Tsuki avance sur la passerelle qui l’amène vers l’avion.

L’Irlande… Jolie pays à visiter. Mais Tsuki ne se voit pas vraiment passer une bonne partie de l’année ici. Surtout que les travaux, bien qu’infime, doivent encore durer quelques temps. Et le plus long sera, bien entendu, sa salle de bain… Bah voyons. Ca commence bien, ici. Mais même si elle n’avait pas son mot à dire sur le lieux, la résidence, la date, et tout un tas d’autre truc, elle ne compte pas se laisser faire bien longtemps. N’oublions pas que le caractère de Tsuki est pire que celui d’un rottweiler enragé. Mais la raison de ses parents est-elle purement et simplement celle que Tsuki croit ? Juste un autre fantasme de milliardaires ? Vous vous doutez bien qu’après cela, bien que le mystère reste entier, quelque chose va se passer.


_____________________________________________________


Nom : Chimigaï
Prénom : Tsuki
Surnom : Un surnom à Tsuki ? Si vous en trouvez un, proposez.
Âge : 17 ans
Métier : Etudiante
Race : Humaine.

Rang souhaité : Gosse de riche.



Physique : Comme dit précédemment, Tsuki est relativement grande avec un mètre soixante-dix, sans talons. Alors imaginez-la quelques secondes perchés sur ses chaussures à semelles compensés dont elle ne se sépare pratiquement jamais. Ses géniteurs, tout deux japonais, lui ont donné ses petits yeux légèrement bridés et noirs, ses magnifiques lèvres cachant de belles dents blanches, ainsi que ses cheveux lisses, long, que les mains d’experts ont rendu plus soyeux que la soie, et noirs. Ce noir profond que l’on retrouve quand on regarde dans un puits dont on ne voit pas le fond. Adoptée par une famille de noble dont la mère est stérile, elle n’a jamais manqué de rien, surtout pas de soin, qui lui ont conférés cette peau douce et parfaite. Du côté des habits, elle ne revête que du foncé, parfois un peu de blanc, qui s’accorde à sa peau pâle. Le reste, beaucoup de noir, de rouge, de violet et de gris. Tout cela pour former un style punk lolita, idéal à son caractère que nous verrons plus tard. Taille fine, grande jambe, courbe légère et envoutante, elle n’a rien à envier aux autres. Elle possède un seul et unique objet fétiche qu'elle ne quitte absolument jamais, et que peu de personne peuvent se vanter d'avoir déjà vu. Autour du cou, elle porte souvent plusieurs colliers, dont deux croix, un coeur, et beaucoup plus bas et donc perpetuellement caché, une tête d'ours en peluche.

Caractère : Fort. Oui, si on ne devait donner qu’un mot pour caractériser son caractère, ce serait fort, sans aucun doute. Bien élevé par des parents adoptifs nobles, elle a l’habitude des réceptions, des soirées chez d’autres riches, et des codes très strictes qu’impose une vie comme la sienne. Bonjour, au revoir, dos droit, s‘il vous plait, merci, pardonnez-moi, le couteau à droite, la main sur la table, on ne baille pas, on ne rigole pas trop fort, on parle doucement, on articule, ne pas saucer l’assiette avec le pain, ne pas couper sa salade… Tout un tas de chose à apprendre et à respecter. Tant de raisons de lui mettre la pression et de la faire piquer une de ses fameuses colères qui l’oblige à s’enfermer dans sa chambre pour ne pas casser toute sorte de meubles, tableaux, bibelots ou autre. Rebelle depuis toujours, elle ne veut pas faire comme tout le monde, même si souvent, elle y est bien obligé par les seuls personnes auxquelles elle accorde un profond respect, ses parents. Ceux à qui elle doit tout. Que dire de plus. Gosse de riche, fait. Caractère de chien, fait. Evidemment, que serait la description du caractère de Tsuki si nous ne parlions pas de son intelligence ? Et bien, disons qu’elle ne s’en sert pas beaucoup. Elle agit à l’instinct, fonce sans réfléchir aux conséquences. Ce qui est bien dommage quand on sait qu’elle est bien plus intelligente que le commun des mortels. Dotée d’un Q.I de 145 selon les différents tests établis par les nombreux psychologues que son adoption à obligé à aller consulter, elle ne se considère pourtant pas comme une personne douée, supérieure aux autres. Mais c’est ce quotient intellectuel élevé qui empêche son cerveau de se reposer correctement, et lui inflige de douloureux cauchemar presque chaque nuit. D’une nature renfermée, elle est solitaire, timide et n’apprécie pas vraiment la compagnie de personne de son âge. Son indifférence face à toutes sortes de choses exaspère son entourage. Elle énerve, en est consciente, et aime ça.


Ps : Pourquoi l’histoire en premier ? Pour le style voyons, pour le style.
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Enyinnaya Feinyx
Dangereux trafiquant de moutons.
Enyinnaya Feinyx


Messages : 26
Date d'inscription : 24/04/2010

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MessageSujet: Re: Tsuki Chimigaï   Tsuki Chimigaï Icon_minitimeSam 24 Juil - 12:00

Oh la tête d'ours en peluche, comme c'est mignon ! xD C'pas ma punk lolita qui va se balader avec ça.

Enfin, re-bienvenue chez les fous, présentation validée et déplacée, groupe ajouté, et je vais voir pour le rang un peu plus tard mais tu peux déjà commencer à RP =)
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Tsuki Chimigaï
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