Nom: Nicolson
Prénom: Razielle
Surnom: Razi
Âge: 19 ans
Nationalité : Américaine
Description physique: Quel mot pourrait bien résumer le physique de Razielle ? Angélique ? Oui, mais ça sonne un peu trop enfantin. Magnifique ? Trop banal. Sublime ? Hm, flatteur, certes, mais rarement vrai. Eh bien, puisqu’on ne peut pas le résumer, autant le décrire. Cette jeune femme possède un visage des plus fins avec une peau des plus pures. Une masse de cheveux bruns retombés en lourde boucle
dans le bas de son dos, une mèche barrant légèrement son front et cachant parfois son œil droit. Oh oui, ses yeux. Deux prunelles d’un bleu océan, piquetées de petites tâches mauves. Un fin trait de crayon noir passait sur ses paupières supérieures, et ses cils interminables étaient recourbés à grand coup
de mascara, créant ainsi un regard charmeur, insaisissable, et pour le moins, troublant.
Car Razielle est en elle-même, troublante. Imaginée une fille d’1m75, pesant tout juste 62kg, ayant des jambes interminables, une taille de guêpe et une poitrine pour le moins… conséquente. Non, vous ne connaitrez pas ses mensurations, faut pas pousser non plus. Donc, vous visualisez biens.
Maintenant, vous rajoutez des tatouages. L’un d’eux représente un lotus duquel s’échappe des petits papillons qui volent sur son ventre et un jusqu’à un de ses seins. Elle se l’ait fait tatoué lors de sa « renaissance » et elle l’a dessiné elle-même. Elle est aussi passée sous l’aiguille le jour de
ses dix-huit ans, s’offrant un phœnix très coloré dans le côté gauche du cou, la queue de celui-ci s’étalant jusqu’à la clavicule.
Oh, j’ai oubliée de vous parler d’une caractéristique pour le moins importante du physique de Razielle. Ses lèvres… Rosée et charnue, on les croquerait presque. Les ¾ des hommes désirent les
embrasser (le dernier quart font partis de la classe des enfants en bas âge ou des débiles). Elle les peints souvent d’un rouge sang ce qui a pour effet des les rendre encore plus irrésistible et donne à son visage d’une pâleur extrême, un brin de couleur qui la rend envoutante.
Vous l’aurez donc compris, Razielle est une belle jeune femme, et qui sait utiliser ce que la nature lui a donner, pour charmer les hommes, évidemment.
Description psychologique: Razielle est une séductrice née ! Et c’est comme ça depuis sa tendre enfance. A l’orphelinat dans lequel elle vivait, elle n’avait qu’à battre des cils et tous
les garçons étaient à ses pieds, obéissants à ses moindres caprices. Elle a quand même mûrie avec l’âge, surtout depuis son adoption. Quand on vit avec un couple homosexuel, ça vous change une enfant, surtout lorsqu’ils habitent sur la 5° Avenue à Manhattan. Un de ses pères, Steeven, était extrêmement
gentil avec elle, lui offrant tout ce qu’elle voulait et lui donnant l’affection dont elle manquait, ce qui lui apprit quand même les bases de la gentillesse. Quand à son autre père, Andrew, il n’était pas ce qu’on pouvait
appeler un « père ». Préférant s’occuper de son agence de mannequinat, il n’a jamais vraiment été très présent dans la vie de sa fille, sauf bien sûr, quand son corps changea pour devenir celui d’une ravissante
adolescente. Les phases de violence de son père endurcir la jeune fille qu’elle était, la rendant haineuse et malheureuse au possible. Mais surmontant tout ça grâce à son meilleur ami, Juuki, elle retrouva toute sa fougue et sa joie de vivre, ne vivant dorénavant que pour le dessin, la musique et le sexe.
Histoire: Abandonnée à la naissance, un 29 Mai, elle n'a jamais connue ses vrais parents. Elle a
grandit dans un orphelinat se trouvant à New-York, dans le Queens. Elle vécut de longues années dans la misère la plus total, mais grâce à ses yeux de biches, elle pouvait se rendre la vie plus facile en faisant marcher tous les garçons, ce qui l’amusait aussi beaucoup. Mais un jour, un riche créateur de
vêtements la trouva entrain d'errer dans Manhattan, tenant à la main un ours en peluche bleu, elle avait dix ans à l'époque.
Et là, adieu la misère et la rue, bienvenue 5° Avenue et soirée mondaine. Elle apprit très vite ce tout nouveau monde où il fallait savoir bien parler et être bien habillé pour être respecté. Son nouveau
père, qui avait environ trente ans et vivait avec son photographe, lui apprit à coudre, à confectionner des vêtements et à jouer du piano. La petite fille tomba littéralement amoureuse de la mode, du dessin et de la musique, se mettant bien vite à plusieurs instruments tel que le piano, la guitare ou la
basse, qu'elle étudia dans le plus grand conservatoire de musique de la ville,
Juillard.
C'est à cette époque là qu'elle rencontra Juuki, elle avait douze ans et lui dix. Ils eurent du mal à s'apprécier, mais chacun s'habitua à la présence de l'autre, et ils grandir presque ensemble, devenant
littéralement inséparable. Mais quand elle eut quatorze ans, tout
bascula dans la vie de Razielle. Son père Andrew était devenu jaloux de cette fille qui n’était pas vraiment la sienne et qui devenait si belle. Il se mit alors à la battre, et un peu plus violemment chaque jours. La jeune fille sombra alors dans tout ce qui a de plus sombre et glauque à New-York. Je parle
bien sûr de la drogue. Y plongeant la tête la première, elle en devint vite accro. Et en plus de ça, les coups de son père la faisaient petit à petit plongé dans les profonds abîmes de la dépression. Elle ne mangeait pour ainsi dire plus, et tout ce qu’elle avalait, finissait aussitôt dans les toilettes.
Mais heureusement qu’il y avait Juuki. Il l’aida à arrêter la drogue, à se ressaisir, à redevenir la belle femme qu’elle était, et à s’enfuir.
A dix-sept ans, elle quitta donc New-York et rejoignit son ami à Dublin. Il l’hébergea pendant plusieurs mois, pendant qu’elle travaillait dans un petit café pour se payer un logement, et les études d’art qu’elle avait commencé dans la faculté de la ville. Ses professeurs étaient très contents de son travail et l’estimèrent comme l’une de leurs meilleures élèves. Du côté vie sentimental, Razielle flirtait avec quelques élèves de la fac (aussi bien des filles que des garçons), mais son cœur ne battait que pour une seule personne. Et cette personne, vous l’aurez deviné, n’était autre que ce cher Juuki, le plus grand coureur de jupon depuis Dom Juan. Oui, elle était amoureuse de son rouquin de cadet depuis ses douze ans. Juuki qui n’était pas insensible au charme de la belle américaine décida alors de commencer une relation avec elle. Ils restèrent en couple pendant un an, jusqu’au nouvel an, où là, il la quitta car il n’éprouvait plus que de l’amitié pour la jeune femme. Ceci manqua de faire retomber la jeune femme en dépression, mais elle se battit pour ne pas que ça arrive et devint alors la meilleure amie du millionnaire. Aujourd’hui, Razielle vit dans un
minuscule appartement à Dublin et travail le soir dans un bar afin de pouvoir payer son loyer et ses études. Elle refuse l’argent qui vient de ses pères, enfin, d’un de ses père, Steeven, l’autre ne s’étant même pas soucié de l’endroit où elle pouvait se trouver juste après sa fugue.
Et aujourd’hui, Razielle est enfin, heureuse.
Test RP :
Vous connaissez un objet de torture pire que le réveil matin ? Ce petit truc qui fait un bruit monstre et qui sonne pile au moment où vos rêves commencent à devenir intéressants, ou bien quand vous arrivez tout juste à vous endormir. Eh bien Razielle ne le connaissait que trop bien. Et son troubleur de sommeil se faisait, la plupart du temps, balayer d’un coup de main pour aller s’écraser au sol.
Son service avait finit tard la veille. C’était le soir d’une finale de Dieu sait quel sport et le bar ne désemplissait pas, venant accueillir tous les fans. Et ils consommaient tous, évidemment. Bon,
elle s’était certes couchée à une heure du matin, mais au moins, elle s’était faite un peu plus de cent euros, juste en pourboire, en une seule soirée. Elle pourrait enfin s’acheter de nouvelles toiles vierges et des fusains neuf.
La jeune femme finit par se décider à sortir de son lit, totalement nue, et se traina jusqu’à la salle de bain où
elle prit une douche rapide et se prépara lentement, encore un peu ensuquer par le trop peu de sommeil. Heureusement que l’anticerne existait. Elle retourna ensuite dans sa chambre pour s’habiller, optant pour un jean moulant avec une paire d’escarpins noirs et un chemisier en soie couleur crème. Le tout, étant
bien sûr créé par elle. Merci papa de l’avoir initié à la couture.
Jetant un bref coup d’œil à son réveil qui gisait toujours par terre, elle remarqua, surprise, qu’elle était dans les temps. Elle se fit quand même une tartine de confiture de fraise dans sa mini-cuisine, puis attrapa sa pochette à dessin dans laquelle se trouvaient quelques croquis commencés et plusieurs feuilles blanches. Elle prit aussi son sac et sa mallette à dessin avant de partir en fermant son appartement à clef. L’école
d’art n’était pas très, très loin, mais elle trainait quand même les pieds, pas très ravie d’aller dans le cours du vieux pervers, qui n’hésitait jamais à faire une réflexion sur la longueur de ses jambes ou la taille de ses seins. Elle se souvenait même d’une fois où il avait proposé de faire des nues en cours, et
de la prendre pour modèle.
Une dizaine de minutes plus tard, elle traversait l’école pour rejoindre sa salle où la plupart des élèves étaient déjà présents. Elle prit place à une table et posa ses affaires au sol en adressant un signe de la main à une fille assise un peu plus loin, avec qui elle était devenu plus ou moins amie.
Cinq minutes plus tard, la porte de la salle s’ouvrit, et c’est avec une agréable surprise, qu’elle remarqua que ce n’était pas le vieux pervers, mais un beau jeune homme qui devait avoir son âge et qui était
pour le moins, sexy. La majeur partie des filles étaient déjà en train de le dévorer des yeux. Razielle aussi, mais ne le montrait pas vraiment, appuyant son menton dans la paume de sa main avec un petit sourire en coin. C’est alors que le canon aux airs de surfeur lança joyeusement :
__ Bonjour à tous ! Je vais remplacer Mr Spikes pour la journée.
Et la seule pensée de Razielle fut :
« Hum... pour lui je voudrais bien servir de modèle de nu»
Sam 31 Juil - 12:04
