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 New York : Là Où Le Sort S'acharne {libre pour n'importe quel esprit futé^^}

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Edge Koboi
Génie
Edge Koboi


Messages : 15
Date d'inscription : 17/07/2010

New York : Là Où Le Sort S'acharne {libre pour n'importe quel esprit futé^^} Empty
MessageSujet: New York : Là Où Le Sort S'acharne {libre pour n'importe quel esprit futé^^}   New York : Là Où Le Sort S'acharne {libre pour n'importe quel esprit futé^^} Icon_minitimeJeu 16 Juin - 17:25

New York, la ville qui ne dort jamais, la grosse pomme ou encore Gotham. Cette ville représentant la "grandeur" des États-Unis d'Amérique avait une triste mine. En effet depuis qu'elle avait perdue un autre de ses symbole, l'Empire State Building depuis peu, la ville semblait encore avoir perdue un peu de son attrait. Un peu comme si Paris avait perdue coup sur coup sa Tour Eiffel puis l'Arc De Triomphe.
Les New Yorkais étaient à cran, à voir leurs têtes et celles des autorités locales, ils s'attendaient à un nouvel attentat... Et ils avaient raison, mais ce n'était pas un attentat comme ils avaient maintenant l'habitude d'en voir.

Trois jours plus tôt, le maire de la ville, au cours d'une réception avait affirmé à un journaliste un peu obsédé par la Théorie du Complot qui demanda si l'attentat de l'Empire State Building était l’œuvre de celui qu'on nommé "le Fantôme du Crime". Le maire répondit que cet individu là n'existait pas et que même si c'était le cas, il n'aurait pas le cran de venir le voir. Bizarrement, une jeune invitée écouta la conversation et passa par la suite un appel tout à fait anodin en apparence.

Le lendemain, le maire reçut dans son bureau un étrange colis, une simple valise noire en métal affublé d'un petit carré jaune avec un N noir en son centre. Pensant à un colis piégée, elle passa sous de nombreux détecteurs qui renvoyait l'image d'un objet impénétrable par les rayons X, à cause notamment d'une fine couche de plomb qui tapissait l'objet. Après la peur, ce fut curieusement l'amusement qui prit place, pensant juste à une plaisanterie de très mauvais gout. Puis l'impensable eut lieu. Dès que la valise se trouva sur le bureau du représentant de la ville, celle-ci s'ouvrit face à lui dans un petit bruit électronique. A l'intérieur, ce qui semblait être un écran de vidéoconférence. L'appareil s'alluma face à un maire qui était à la fois apeuré et intrigué. Sur l'écran, on voyait des flammes, comme si l'autre appareil était au milieu d'un brasier, puis une silhouette se dessina, deux bras, une tête, c'était un humain, bien que la silhouette était trop vague pour discerner le sexe de l'individu ou même son visage recouvert par un chapeau. Pour simplifier, on aurait dit une ombre qui se tenait la sans broncher.
Une voix sortit de l'appareil avec des tonalités métallique, presque irréelle par sa neutralité:


"Mes respects Monsieur le maire!


-Qui... Qui êtes vous? demanda le maire avec un ton mêlant inquiétude et colère

-Voyons Monsieur le maire, normalement, c'est moi qui ne devrait pas avoir assez de cran pour vous parler!"

Le Maire ne répondit pas, son visage devenait hésitant, la voix métallique reprit:

"Oui, je suis bien celui à qui vous pensez! Toutefois, si ça peut vous rassurez, je n'ai rien avoir avec ce qui s'est passé sur l'Empire State Building, contrairement aux événements du 11 septembre!

-Qu'est ce que vous voulez? Demanda le Maire qui semblait reprendre un peu de confiance
-C'est très simple! On peut dire beaucoup de choses sur moi, j'existe, j'existe pas, je suis une vulgaire légende urbaine et j'en passe! Mais il y une chose que je ne supporte pas, c'est que l'on me défie avec l'arrogance dont vous avez fait preuve hier!"

La vois marqua une pause avant de reprendre:

"Ainsi, pour vous apprendre à ne plus faire un tel affront, je vais de nouveau frapper à New York, dans des circonstances dont vous n'avez même pas idée.

Bonne soirée Monsieur le Maire"

La voix disparue de même que l'image. La valise se referma face à un maire dépité qui décida que cela ne se passera pas comme ça. Il sortit du bureau pour préparer un conseil municipal de toute urgence. La secrétaire entra dans le bureau, un bruit se fit entendre, suivit par un cri. Tous le monde se précipita dans le bureau et vit la jeune femme contre la bibliothèque. Elle était terrorisée. Une chose frappa, la valise avait disparue. La secrétaire affirma que la valise disparut dans un flash blanc accompagné par un bruit étrange.

Le lendemain, quelques minutes avant la réunion, deux hommes en noirs arrivèrent face aux Maire:

-Monsieur le Maire! Je suis l'Agent Jones et voici l'Agent Baker. Services secret Fédéral! Nous allons vous demander de modifier vos paroles lors de ce conseils et d'oublier ce que vous avez vue! La version officielle est qu'une organisation extrémiste islamiste veut encore attaquer New York! Et pas de faux pas si vous ne voulez pas dire adieu à votre carrière!

Les deux hommes partirent laissant un maire désorienter qui allait quand même exécuter les ordres des deux "officiels", la perspective d'une fin de carrière n'était pas envisageable pour lui.

Tous ces évènements nous mènent à aujourd'hui. La police surveillent de très près de nombreux bâtiment de la ville telle que la Chrysler Tower, dernier building emblématique de la ville, le Siège des Nations Unies, L'Hôtel de ville de New York, la Statue de la Liberté ainsi que d'autres monuments emblématiques de la ville... mais pas tous!


New York Stock Exchange, Wall Street, Manhattan
Malgré les opérations de surveillances de la police, la bourse de New York était relativement tranquille. Enfin disons que l'ambiance en son sein n'était pas plus différente que d'habitude avec des centaines de personnes, coursiers, traders courant en tous sens, vérifiant les cours de leurs actions, jouant avec leurs fortunes ou celle de leurs clients. C'était bouillonnant, intense, vivant, c'était New York dans son plus simple état d'esprit!

C'était l'après-midi, aux alentours de 15 heures heure locale quand une grosse berline Mercedes noire, du genre voiture d'homme richissime mais voulant un semblant de discrétion arriva face aux bâtiment reconnaissable avec son énorme drapeau américain en façade. La voiture s'arrêta et une jeune femme, d'origine métis comme une fille des caraïbes, avec une chevelure noire mi-long, un visage et un corps très loin d'être désagréables à regarder et vêtue de la tenue classique des femmes d'affaires, robe noire, veste noire, talon aiguilles noire, collants noirs et sac à main noir. Le tous signés par quelques uns des plus grand noms de la mode. Tout y était!

La jeune femme entra dans le hall de la bourse, passant sans gènes devant les caméras, elle ressemblait à n'importe quelles femmes d'affaires déjà présentes dans les lieux et n'avait donc rien de suspect. D'ailleurs, le portique de sécurité ne détecta rien d'anormale hormis dans le sac à mains où ne se trouvait que des "affaires de femmes" comme l'aurait dit l'agent de sécurité, visiblement en surpoids avec un machisme tout aussi développer.

Elle marcha d'un pas élégant et gracieux, ses yeux à l'affut de l'endroit idéal et elle le trouva. Elle s'installa face à un ordinateur où passer en boucle les cours de la bourse. Elle était au fond de la salle principale, à l'écart de l'agitation permanente. Après quelques minutes à faire semblant de pianoter, elle sorti un objet de son sac, son simple miroir de poche... dont elle sortit une petite fibre optique qu'elle introduisit en toute discrétion dans l'ordinateur relié au serveur centrale de la bourse. Les concepteurs du système de sécurité iraient certainement se pendre si ils verraient qu'un simple miroir de poche avaient battus ce système en quelques secondes. Une fois connectés au serveur, elle lança la procédure qu'on lui avait demandés. L'agitation des autres membres présents dans l'écran se tut un instant avant de sembler à juste raison laissé place à la panique. En effet, sur les écrans et programmes, les cours de la bourses s'effondrèrent à vue d’œil jusqu'à même atteindre 0 et continuer dans le négatif après. La jeune femme ne quitta pas son écran mais regarda une barre de progression s'acheva par un "Transfert Virus Complete". Elle débrancha son miroir de poche et appuya sur le petit symbole sur son couvercle, un "N" dans un carré. Le miroir fermé voyait ses contours parcourus par des petites étincelles avant qu'une légère odeur de composant électronique brulé car ayant subi une autodestruction par court circuitage intégrale se fit sentir.

La jeune femme regarda un moment l'écran avant de prononcer sobrement:

"C'est royale!"

Puis elle appuya sur la touche "entrée" dans un geste presque théâtrale. A ce moment là, toute les installations de la bourses entrèrent en court circuit, plongeant le hall dans le noir, ajoutant plus encore à la panique.

La jeune femme se dirigea calmement vers la sortie, ce qui, avec l'agitation était très remarquable. Elle regarda la dernière caméra lui adressant un signe de la main avant de poser le miroir de poche désormais inutile face à l'agent de la sécurité:

"Tenez mon vieux! C'est pour le dérangement!"

Adressa t'elle d'abord en souriant, puis en rigolant en quittant la bourse de New York par la grande porte. Elle se dirigea vers la grosse Mercedes et entra sur la banquette arrière. La voiture démarra et partit comme si de rien n'était. La voiture prit la direction de l'aéroport JFK.
En chemin, l'homme qui était à côté de la jeune femme parla:

"Alors?

-Un jeu d'enfant!

-Bien! Espérons qu'ils ait un esprit futé qui comprend mon petit cadeau

-Un esprit futé ici! Ça existe?"


Une petite crise de rire s'installa dans la voiture qui roula tranquillement jusqu'à l'aéroport sans être inquiétés. Une fois arrivée dans ce dernier, elle roula sur la piste jusqu'à atteindre un avion. La voiture rentra dans la soute arrière par le biais d'une porte. Une demi-heure plus tard, l'avion décolla et partit vers une destination dont seuls les occupants connaissent.

Pendant ce temps, le bug générale de la bourse de New York provoqua un mini krach boursier qui dans un monde économique déjà affaiblie provoqua chez certains l'impression du coup de grâce. Mais tous cela, c'est une autre histoire.
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