Artemis Fowl RPG
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 Présentations des humains

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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeLun 28 Sep - 18:46

T'inquiète, moi aussi c'est proche du zéro pointé, si pas du -1...

Bienvenus!!!!

=D
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Razielle Nicolson

Razielle Nicolson


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MessageSujet: Razielle Nicolson   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeJeu 15 Oct - 21:09

Nom: Nicolson
Prénom: Razielle
Surnom: Razi
Âge: 19 ans

Description: C'est une jeune femme d'une beauté angélique, d'origine New-Yorkaise, possédant un visage très fin à la peau très pâle et des mains de pianiste. Elle a de très longs cheveux ondulés bleu nuit aux racines noires. Elle a aussi un regard séducteur, d'une couleur naturelle bleu/violet.
Une taille fine et élancée, mesurant environ 1m73 pour 60 kg, elle se sait belle, presque irrésistible, et elle sait très bien utilisée ses atouts pour arriver à ses fins.


Caractère: Razielle n'est pas vraiment du genre sociable, bien qu'elle se lie facillement d'amitié avec les autres. Ce qu'on peut lui reprocher, c'est qu'elle a un sens critique extrêmement développée, et n'a pas peur de balancer à la figure ce qu'elle pense des autres. C'est une dingue de fringues, d'ailleurs, tous ses pantalons, robes, bustier, chemisiers, et j'en passe, sont fait par elle même.
Elle est plutôt calme, posée, sûre d'elle, et est dotée d'une grâce hors du communs. Elle a tout de la femme fatale


Histoire: Abandonnée à la naissance, un 29 Mai, elle n'a jamais connue ses vrais parents. Elle a grandit dans un orphelinat se trouvant à New-York, dans le Queens. Elle vécut de longues années dans la misère la plus total, séchant toujours les cours et fuguant le plus de fois possible. Elle se batait très souvent, au plus grand désespoir des adultes de l'orphelinat. Mais un jour, un riche créateur de vêtements la trouva entrain d'érrer dans Manhattan, tenant à la main un ours en peluche bleu, elle avait dix ans à l'époque.
Et là, adieu la misère et la rue, bienvenue 5° Avenue et soirée mondaine. Elle apprit très vite ce tout nouveau monde où il fallait savoir bien parler et être bien habillé pour être respecter. Son nouveau père, qui avait environ trente ans et vivait avec son photographe, lui apprit à coudre, à confectionner des vêtements et à jouer du piano. La petite fille tomba littéralement amoureuse de la mode et de la musique, se mettant bien vite à plusieurs instruments tel que le piano, la guitare ou la basse, qu'elle étudia dans le plus grand conservatoir de musique de la ville.
C'est à cette époque là qu'elle rencontra Juuki pour la première fois, elle avait onze ans et lui dix. Ils eurent du mal à s'apprécier, mais chacun s'habitua à la présence de l'autre, et ils grandir presque ensemble, devenant littéralement inséparable.
Arrivée à seize ans, Razielle quitta New-York pour aménager à Dublin où elle voyait souvent Juuki. Elle étudiait alors dans une grande école, spécialisait dans le stylisme, son rêve étant de créer sa propre ligne de vêtements. Et ce fut à cette époque qu'elle commença à attirer énormément les garçons, surtout un en particulier, et à sortir très souvent dans des soirées trop arrosée, s'amusant comme une folle.
Et un jour, elle avoua à une certaine personne être amoureuse d'elle, et elle sortit pendant presque un an avec lui. Puis il la quitta. Le coeur brisée, elle quitta Dublin pour Tokyo, où elle vivait jusqu'à présent, soignant ses bléssures et repensant à son rêve. Elle retourna alors à Dublin, où elle devint la meilleure amie de son plus gros chagrin d'amour, et ça lui plaisait beaucoup!
Elle a maintenant reprit ses études et habite un appartement à Dublin.


Autre: Elle porte très souvent un chapeau haut de forme avec une rose rouge et un très longue plume de la même couleur
Elle possède plusieurs tatouage, un sur l'aine représentant un lotus d'où s'échappent des rayons lumineux et des papillons, elle a une fée clochette en ombre chinoise, de profile, sur l'omoplate gauche, un petit Phoenix bleu, blanc et noir sur le côté droit du cou, et elle a aussi les kanji japonais "amour" et "ange" sur l'index et l'annulaire de la main gauche.
Elle a cinq anneaux à l'oreille gauche et trois à l'oreille droite.
Elle est la meilleure amie et l'ex de Juuki

Même si elle ne la connait pas vraiment, elle méprise presque Rin, ne désirant par dessus tout qu'elle disparaisse de la vie de Juuki
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Seiryu 'Rin' Nanahara
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Seiryu 'Rin' Nanahara


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeJeu 15 Oct - 21:25

Welcome, another time ^^

Validé, groupe ajouté, have fun
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Razielle Nicolson

Razielle Nicolson


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeVen 16 Oct - 19:46

Thanks you Présentations des humains - Page 5 Icon_biggrin
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Wang Sky

Wang Sky


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeJeu 22 Oct - 22:33

Nom : Wang
Prénom : Tian Ming
Pseudo : Sky
Age : 21 ans.
Statut : Méchant chinois-américain.

Physique : Tian mesure environ 1m 80, pèse 72 kg. Cela lui vient sans doute de sa mère, car son père est assez petit. Pas de muscles, mais une souplesse et une agilité étonnantes. Tantôt un costume trois pièces, tantôt une chemise froissée et un jean sombre. Mais sinon . . . rien. Enfin si, mais rien de positif. Juste un profond et insondable mépris. Tout chez Sky exprime le dédain. De sa coiffure, lisse et droite jusqu'à en être exaspérante, à sa démarche, désinvolte et droite à la fois. Et le reste suit. Un visage héritier de ses origines asiatiques, toujours levé : des yeux mi-dorés mi-verts, vous toisant avec le détachement d'un roi. On retrouve cette allure dans sa manière de se tenir. Un port altier, d'une droiture sans faille, et une expression toujours distante et sûre de soi. Sa bouche s'ouvre à peine, lorsqu'il juge que son interlocuteur est digne de l'entendre ; parfois elle s'étire en un étrange rictus.

Tian a un tatouage sur la nuque. Il s'agit de son nom. L'idéogramme chinois « Wang », qui veut dire « empereur ». Il faut croire que dès sa naissance, notre ami était destiné à se sentir supérieur aux autres.

Caractère : Coïncide avec l'impression donnée par son physique. La règle est plutôt simple : Tian méprise tout le monde, Tian méprise tout le monde. Pour lui, tout est inférieur et indigne de son attention. Il ne supporte pas qu'on le regarde de haut, encore moins qu'on le sous-estime ; c'est un homme froid et qui économise ses paroles. Il est très difficile de mériter un regard qui ne soit pas dédaigneux lorsqu'on a une conversation avec Sky. L'asiatique exaspère. Là encore, chaque trait de son caractère semble avoir été spécialement pensé pour cela. La tendance au sarcasme, la manière nonchalante de prendre n'importe quelle nouvelle, grave ou futile, l'habitude de répondre sur un ton profondément agaçant à tous (ses supérieurs compris), sont des principes qu'il n'abandonne jamais. Et qui lui ont valu bien des déboires. Mais finalement, son entourage s'y habitue. On « fait avec », on s'adapte, on prend sur soi, à défaut de comprendre.

Certes, Tian a des sentiments. Même beaucoup. Il ne cherche pas à les cacher ; simplement, sauf cas exceptionnel, ils sont souvent vagues ou négatifs et ne changent donc en rien son comportement. Seule une catégorie de choses le fait réagir : tout ce qui se rapporte aux Etats-Unis. Comme de plus en plus de jeunes en Chine, Sky est un mordu de restauration rapide, préférant de loin les hamburgers, coca, glaces et autres monstres hydrogénés à l'inoffensive cuisine traditionnelle de son pays. Mais ça ne s'arrête pas là : il connaît tous les états des USA, il suit de près leur actualité, il a des dizaines de contacts dans les plus hautes sphères de la politique américaine, et il se sent appartenir à ce pays. Comme à une patrie. On doit connaître les points les plus secrets de son histoire pour comprendre la raison d'une telle passion.

Allons-y, tiens, dans son histoire. Par là.



Histoire : On va commencer par la naissance. Oui, c'est pétant d'originalité, je sais. M'enfin bon.

Wang Tian Ming est né, donc, un 14 février. C'était un matin comme un autre, dans la pollution terrifiante de Shanghai, et n'eut aucune reconnaissance particulière. Les Wang, comme il y avait tant d'autres Wang en Chine, étaient une famille sans histoires. Ils avaient toujours vécu et travaillé honnêtement, sans mauvaises actions, sans trop non plus participer aux nobles causes. « Ne te mêle que de tes affaires et tu seras heureux », c'était le mot d'ordre. Aussi, lorsque la mère du petit mourut en couches, on se convainquit qu'il s'agissait d'une fatalité, et on appela le rejeton « Tian Ming », ce qui signifie littéralement « Ciel de lumière ».

Tian n'a jamais aimé ce nom. Il le trouvait trop pompeux pour lui, qui n'était au final qu'un humain. Malheureusement, le registre d'état civil était impitoyable. Et c'est ainsi que l'enfant grandit avec son père, le frère de son père, et les parents de son père. Ils habitaient tous dans un appartement assez spacieux. Le père répétait sans cesse qu'ils avaient de la chance, vue l'inflation des prix de l'immobilier à Shanghai. Mais le gosse ne voyait pas où était la chance. On voyait à peine un coin de ciel de leurs fenêtres, tout le paysage étant envahi par les gratte-ciels. Et encore, ce coin n'était jamais bleu.

Quelle chance.

A neuf ans, notre héros voulut une petite soeur. Parce qu'il avait vu ça dans les séries américaines, des familles heureuses, avec le papa, la maman, le fils et la petite soeur. La petite soeur qui énervait toujours son grand frère, mais à la fin, ils faisaient la paix, et c'était le générique de fin. Un jour, il demanda à son père. La conversation qu'ils eurent resta gravée dans sa mémoire, et il ne l'oublierait sans doute jamais.

« Papa ?
- Ah, tu es rentré. Alors, comment c'était, l'école ? Bonnes notes ? fit le paternel, sans lever les yeux de son journal.
- Très bien. Écoute, j'aimerais beaucoup avoir une petite soeur. »

Grand silence. Mr Wang ne répondit pas tout de suite, mais Tian vit ses mains se crisper sur le journal.

« Comment ça, une petite soeur ?
- Une petite soeur. Je m'en occuperai, et on se disputerait, mais on finirait toujours par se réconcilier. Et maman serait obligée de revenir, et on emménagerait dans une belle maison en banlieue, et on serait heureux. »

La réponse ne se fit pas attendre. Cette fois, le père jeta son journal sur la table basse, rouge de colère, et darda sur son fils un regard noir.

« Tu te crois dans une de ces stupides séries capitalistes ? cracha-t-il. Une fille, ça ne représente que des ennuis. C'est cher et inutile.
- Faux. Une fille, c'est très intelligent.
- Tu parles ! Elle ne savent rien faire ! Rien !
- Maman est très intelligente. Je le sais. »

Ce fut alors que le père comprit ce que disait son fils. Son teint vira au cramoisi. Lorsqu'il prit la parole, ce fut d'une voix doucereuse.

« Ta mère est morte, petit crétin. Elle ne reviendra plus. »

Ce fut tout.

Tian continua donc à vivre avec son père, le frère de son père et les parents de son père, dans l'appartement assez spacieux avec un coin de ciel. Il ne revint jamais sur ce qui s'était passé, ce jour-là. Il ne revint jamais sur ce que son père lui avait dit.

Peu à peu, il commença à haïr sa famille.

Qu'il étaient blasés, tous. Inintéressants. Sans sourire, sans passions, sans amis. D'ailleurs, ils ne souriaient jamais sur les photographies de famille. Et Tian ne souriait pas non plus parce qu'il considérait que c'était inutile, vu que les autres ne souriaient pas.

Peu à peu, il finit par ne savoir esquisser que des rictus.

L'enfant développa son petit monde : sa chambre, dans laquelle il se réfugiait après chaque journée d'école. Là, il y avait des dessins de montagnes, de ciels purs, de forêts verdoyantes ; il y en avait de New-York, avec ses buildings et sa statue de la liberté ; il y en avait de séries américaines célèbres, avec tous ces visages souriants, ces maisons de quartiers chics, ces petites rues de banlieues pavillonnaires. Malgré l'indifférence totale de sa famille envers les langues étrangères, Tian excella en anglais et devint complètement bilingue à 15 ans.

Peu à peu, le jeune Wang mit son prénom aux oubliettes et se fit appeler Sky.

Et à ses 16 ans, un voyage de classe eut lieu. A Chicago. Pas New-York, mais c'était déjà ça.

Tian voulut rester. C'était là qu'il se sentait bien. C'était là, dans une ville pourtant aussi polluée que Shanghai, qu'il était chez lui. Alors, il voulut voir sa ville un peu plus en détail. Un soir, il quitta en douce l'hôtel où dormaient ses camarades et sortit dans la rue. Très vite, il quitta les quartiers moyens, traversa la zone aisée, où s'alignaient villas et voitures de luxe, puis arriva dans les bas-fonds.


Des traces de brûlures ornaient les maisons en briques rouges ; les pavés des rues étaient défoncés par endroit ; des rires et des éclats de voix parvenaient des bars alentours. Sky toucha du pied une matière suspecte, et s'écarta vivement : il s'agissait du cadavre d'un chaton. Peu rassuré, le jeune homme continua néanmoins sa promenade. Un peu plus loin, au fond d'une impasse sombre, un adolescent taguait un mur gris. Assis dessus, semblant se moquer des barbelés, un groupe très hétérogène. Des femmes, des hommes. Ils discutaient entre eux à voix basse, regardant tous vers la plus petite des femmes, comme si elle était leur leader.

Cette scène avait un tel surréalisme que Sky resta à la regarder, planté là, sans pouvoir s'en détacher. Bien sûr, la rue étant presque déserte, il n'était pas trop discret. Et se fit très vite apostropher par la petite de la bande, qui tourna brusquement la tête vers lui.

« Hey, toi, là ! Tu veux notre photo ? »

Il y avait dans ces paroles un accent américain, fier et arrogant, qui fit frémir Tian malgré lui. Mais il n'était pas du genre à se laisser impressionner facilement. Aussi se dirigea-t-il d'un pas décidé vers le groupe, et s'arrêta juste au pied du mur, sous le regard étonné du tagueur. Qui n'en arrêta pas moins sa création artistique.

« Malheureusement, je n'ai pas mon appareil sur moi. Mais vous seriez un très beau sujet.
- Attends, dites-moi que je rêve, là. Tu sais à qui tu parles, le chinois ? »

La jeune fille se pencha, toujours assise sur le mur, et son visage fut éclairé par la lumière jaunâtre d'un vieux réverbère. Si Wang n'avait pas été aussi maître de lui-même, il aurait certainement sursauté.

Il n'avait jamais vu un tel portrait. Celle qu'il avait pris pour une femme ne devait pas avoir plus de la dizaine. Et pourtant. Ses traits avaient déjà la dureté d'une vie arrachée lambeaux par lambeaux ; elle n'avait pas de cheveux, et cette calvitie était parée d'un foulard écarlate ; son corps était squelettique, et des muscles noueux s'y décelaient ; son bras droit était couturé de cicatrices, dont certaines avaient l'air encore à vif. D'un geste machinal, elle tirait des bouffées d'une cigarette sans filtre. La fumée s'élevait lentement, disparaissant dans le ciel sans étoiles.

Reprenant contenance, Tian répondit le plus nonchalamment possible.

« Non, je ne sais pas. Je présume que vous êtes quelqu'un d'important ? »

La fillette eut un silence, puis éclata de rire. Ce n'était pas le rire qu'avait une fillette normale. Plus un hoquet, rauque et inhumain. A glacer le sang.

« Ouais, quelqu'un d'important. On m'appelle la Princesse.
- Il y a donc une Reine ? »

La dénommée Princesse eut un sifflement de mépris.

« Yep. Mais je doute que tu deviennes assez important pour la voir un jour. Sa Majesté est orgueilleuse.
- On verra. Tout arrive. Et toi, à quoi tu sers ?
- A frapper. A chercher les problèmes et à foncer dedans. Je suis la plus forte dans le domaine.
- La plus forte ?
- Après la Reine, précisa la petite avec un soupir.
- Je ne te crois pas. »

Il eut le droit à un regard noir comme l'encre.

« Répète ?
- Je ne te crois pas.
- Regarde bien. »

L'enfant descendit du mur d'un saut parfaitement calculé. Une seconde plus tard, un fracas terrible retentit, qui se répercuta dans toute la rue. Les membres du groupe s'affaissèrent légèrement, mais au-delà cette attitude de crainte, on pouvait lire la fierté dans leurs yeux étincelants.

Tian n'arrivait pas à y croire : une fissure de 30cm venait d'apparaître dans la pierre du mur. La Princesse, avec un rictus, lui montra son poing refermé. Il était ganté de cuir noir, et armé d'une pique à chaque jointure.

« Tu vois, le chinois, ces machins-là font très mal. Surtout si tu te les prends dans le visage. Alors tu feras mieux de croire tout ce que je te dirai, si on se revoit.
- Si on se revoit ?
- On doit y aller. Il est deux heures, on a un règlement de compte deux rues plus loin. Bye, le chinois.
- Sky. Je suis Sky. »

C'était sorti tout seul. La fillette fronça les sourcils.

« C'est pas chinois, Sky.
- Ma mère est américaine. »

Son interlocutrice eut un sourire, qui découvrit de petites dents blanches aux incisives pointues. A l'instant-même, Wang sut qu'elle ne croyait pas à son mensonge.

« Je vois. Bon, alors bye, le chinois-américain.
- C'est ça, bye. »

5 ans ont passé depuis.

Sky est devenu l'être méprisant et détestable que nous aurons l'habitude de connaître. Et comme nous l'avons déjà stipulé, il méprise tout le monde, il méprise tout. Sauf la Princesse et cette femme, juste devant lui. Assis dans un grand fauteuil de cuir, il regarde, sans pouvoir s'en détacher, la Reine de Chicago.

Lilith Perry est une femme magnifique. Par le physique certes, avec ses cheveux acajou interminables, ses yeux noirs brillants d'une lueur folle, ses traits à la fois cruels et doux, son impressionnant manteau de fourrure noire. Mais aussi et surtout par l'impression qu'elle dégage. Celle d'une véritable impératrice, impitoyable et froide. L'attitude que Sky rêve d'avoir, un jour. Lilith est debout, appuyée contre le mur. Sa silhouette filiforme, d'une longueur incroyable de 2 mètres pleins et rehaussée par des talons de 10 centimètres, ne frôle pourtant pas du tout les hauts plafonds de sa demeure.

C'est une maison de style italien, parée de colonnes et de lambris immaculés. Une mission à Dublin vient d'être donnée. Une mission qui risque d'être longue. Et que la mafia américaine n'a pas l'habitude de mener. Environ vingt personnes sont présentes dans le salon, certaines assises, d'autres debout. Des hommes, des femmes. Tous regardent la géante.

La géante regarde Sky. Sky regarde la géante. Le silence est assourdissant. Il dure. Dure.

Au bout d'une heure, Sky se lève. Il fait quelques pas en avant, s'incline profondément devant sa patronne. Et il murmure une unique phrase que tout le monde entend.


« Soit, je veillerai sur votre fille. »

--------------------------------------------------------------------------

Autres : On aaaaiiiime les histoires où tu comprends rien. Bref, j'ai gardé un peu de mystère sinon c'est pas marrant *SBAF*

Et je suis sûr que personne ne m'a reconnu. T_T
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Ryan Moss
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Ryan Moss


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeJeu 22 Oct - 22:45

Présentation validée (encore une x) )
Non, je te rassure, on t'as pas reconnu(e) promis! Very Happy
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Galia

Galia


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeMer 18 Nov - 2:55

Nom: Cristal
Prénom: Galia
Âge: 16 ans
Surnom: Lili
Date de naissance: 31 octobre 1993


Description physique:

Le physique de Galia est largement avantageux: fine, souple, de taille plutôt moyenne, dépasse a peine le mètre 60, petit complexe qu'elle comble très bien avec le reste, de beaux yeux turquoises, des cheveux longs, soyeux et lilas, une allure gracieuse, délicate et élancée, autrement dit, un corps dont beaucoup rêve. Elle ne laisse rien aux détails et prend soin d'elle, car la beauté n'est pas juste quelque chose d'agréable a regarder, loin de la! La beauté attire, elle éblouit, elle fait tourné la tête, elle marque, elle accentue le pouvoir de manipulation! Disons-le tout net, c'est beaucoup a cause de ce dernier qu'elle passe des heures dans la salle de bain ou le nez dans sa garde-robe bien rempli a chercher quels accessoires iraient le mieux avec tels vêtements... En parlant de ça, son style vestimentaire varie tout le temps, en même temps avec tout les fringues qu'elle possède, c'est pas étonnant. Et on ne peux renier
le fait que tout lui va! Robe, jean, jupe courte ou longue, t-shirt, bustier, pull... Cela en devient même pénible.
Parlons maintenant de son visage : ce qui, en général, marque les esprits, ce sont ses grands yeux, d'une légère couleur turquoise, reflétant une belle pureté dont ne fait pas preuve leur porteuse. Puis vient ensuite ses cheveux. Long, lisse, soyeux, lilas, Galia les colore depuis maintenant 3ans, pour changer de la banalité des blondes, on en voit partout, et elle n'aime pas se fondre dans le paysage. Sinon, elle a un tout petit nez, une dentition parfaite et blanche, entourée de fines lèvres, elle même présente sur un visage fin a la peau parfaite, comme le reste... Malgré ce physique des plus plaisants, elle ne fait pas parti des gens qui se la raconte, elle préfère rester dans son coin avec ses vrais amis a rire de tout, de rien, et en parfaite petite lycéenne, a parler du prochain devoir prévu, ou d'autre chose bien plus intéressante... Les personnes qui ne la connaisse pas peuvent aisément lui donner une ou deux années de plus physiquement, mais une ou deux de moins dans le comportement qu'elle laisse apparaître en premier lieu, légèrement gamine, pétillante et douce. Donc finalement, on retombe sur nos pieds et on ne se trompe pas sur son âge. Sauf quand Galia en a envie.



Description morale:

Si a première vue Galia peut vous paraître être une jeune fille pleine de joie de vivre, d’énergie, vivant d’amour et d’eau fraîche (bon, n’exagérons rien non plus hein…), ce n’est qu’une façade, Galia se cache derrière cette apparence de jolie jeune fille sociable pour ne pas révéler a ceux qui n’ont pas besoin de le savoir sa vraie nature. Comment décrire alors l’état d’esprit de cette jeune adolescente? Qui vraiment peut se permettre de croire connaître ses pensées? Galia est imprévisible, elle aime s’amuser mais ne fait rien au hasard. Elle a toujours un but, une idée derrière la tête, et bien sûr, car tout est relatif dans la vie, un plan B. Elle ne place sa confiance, même légèrement faussée, que au sein de son ordinateur dont elle ne se sépare absolument jamais. C’est d’ailleurs dans ce PC que le dossier contenant les informations élémentaires de chaque personnage qu’elle a eu l’occasion de rencontrer se cache. Rien de bien important, mais elle aime bien relire ses notes pour se rappeler a qui elle a a faire et si ces personnes peuvent lui être utile. Car Galia est une manipulatrice dans l’âme, jouant des sentiments sans culpabilité, et s’amusant a toujours repousser ses limites, identifiant chaque détail et mettant une idée précise de
la grandeur de son «pouvoir». Un vrai petit démon. Tiens, parlons-en un peu des sentiments: comme beaucoup d’adolescentes de son âge, Galia a eu quelques conquêtes, mais ne s’est jamais vraiment investie dans son couple, elle préfère assuré la guérison rapide après une fin d’histoire. Oui, Galia est assez optimiste quand a l’avenir du pessimisme, c’est d’ailleurs une des raisons du pourquoi avoir toujours un plan B. La loi de Murphy est une loi incontestable qui s’applique dans chaque domaine et à chaque moment de notre vie, selon ses dires. Légèrement psychopathe sur les bords, elle est toujours sur ses gardes et se pense toujours observé. La confiance qu’elle accorde à ses amis est limitée, et il lui a fallu du temps pour leur accepter. Elle décide un peu trop vite peut-être a qui faire confiance ou non, selon ses instincts, qui parfois se révèlent… violent. C’est a cause de ses instincts qu’elle a poussé une demi-douzaine de personnes dans la dépression et les tendances suicidaires, une tendance qui a eu raison de 4 d’entre eux, et quand on ose le rappeler a la
demoiselle, un léger sourire sadique s’affiche sur son visage, suivit d’un ricanement a peine sonore, prouvant toute la culpabilité dont elle fait part, et l’importance qu’elle accorde a ceux qui ont préféré abandonné la partie avant la fin officielle. Oui, c’est un peu la vision qu’elle a de la vie, un jeu ou chacun doit se battre pour survivre aux autres… ou a nous-même. Et puis, les quatre premières victimes, c'est quand même un souvenir qu'on oublie pas!



Histoire:

Galia a une envie folle de chocolat! Galia aime les ordinateurs quand ils sont puissants! Galia n’aime pas perdre sauf quand il s’agit de jouer au con! Bref, Galia a une vie banale, une enfance tout a fait banale, dans une famille banale avec le chat bien banal qui vient se blottir contre nous quand on essaye de regarder banalement et paisiblement la télévision, ou encore le petit frère banal qui crie tout le temps, la tante ennuyeuse ET banale qui nous bave dessus quand elle nous dit bonjour, le chien banal du voisin banal qui crie dès qu’on met un banal pied dehors… La vie de Galia est d’une banalité effrayante! C’est a cause de ce manque d’action que Galia a eu envie de faire quelque chose qui sort de l’ordinaire.
Galia voulait tuer des gens mais juste avec la torture psychologique, la pendaison, l’empoisonnement, le saignement ou encore en implantant des bactéries dans le corps des gens et les laisser mourir tout seul dans la souffrance a regarder un épisode de « Dr House» approprié a la situation !

Galia, maintenant qu’elle est grande, tue les gens par contrat, elle ne les connaît pas forcement, elle doit juste s’amuser avec eux, les torturer, les faire attendre longtemps et enfin, après avoir été supplier, les tuer en écoutant un peu de rock, et elle trouve ça marrant, quoi de mieux qu’un bon petit contrat bien payé pour redonner le sourire?! Évidemment, on ne devient pas tueuse comme ça, c’est grâce au tout premier qu’elle a poussé a se pendre qu’elle a compris que c’était ça qu’elle voulait faire dans la vie! Au début, elle l’a fait pour son propre plaisir, un passe-temps, ça lui faisait oublier à quel point sa vie était banale… Puis un jour, alors qu’elle s’amusait a faire manger du chocolat fourré a l’acide sulfurique a une de ses victimes, un riche homme cherchant la tranquillité s’est pointé dans la rue laissé a l’abandon a l’arrière d’une grande société que Galia avait choisi comme étant le dernier lieu que verra le prochain mort. Il n’a pas hésité a engagé la jeune fille pour des raisons personnelles (C'est pas tous les jours qu'on rencontre une jeune fille qui tue calmement un homme avec du chocolat) et depuis, elle jongle avec les contrats, changeant continuellement de nom de famille sur chaque papier, voulant rester connue uniquement sous le nom de Galia, prénom qu'elle aime beaucoup puisqu'il est original, afin d’écarter sa famille de ce monde en constant mouvement, bien trop différent de leur petite vie paisible qu’elle a été obligée de supporter.




Héhéhé, on reconnait pas l'autre perso ici, impossible qu'on retrouve mon identité grâce a cette presentation! Mwaha


Dernière édition par Galia le Sam 12 Juin - 15:43, édité 2 fois
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Ryan Moss
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 22 Nov - 23:31

Validé \o/ groupe ajouté

Welcome back

Tu peux dire merci à Const parce que j'ai pas arrêter d'oublier ><
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MessageSujet: Cole teris   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 22 Nov - 23:35

Nom : Teris
Prénom : Cole
Age : 17 ans

Description physique : Cole possède un corps svelte et élancé. Il n'est en effet pas très musclé. Sa corpulence lui fait donc défaut mais son visage gracieux rattrape son apparence peu glorieuse. Cole est certainement très beau. Imberbe , sa peau d'une douceur estrème ne laisse apparaitre aucun élément négligabe , aucun défaut ne souille la splendeur de ses traits. Son nez petit et légèrement pointu forme la limite des deux faces de son visage parfaitement symétriques. Ses cheveux bruns, dont les mèches irritantes de devant couvrent à demi ses yeux marrons , sont lisses et bien coiffés. D'une famille plutot riche Cole s'habille bien ; les rares fois ou il dègne sortir.
Cole est le jolie coeur de ses dames mais son coté insociable ne lui permet pas de fréquenter les gens ordianires.

Description morale : Car Cole n'est pas ordinaire. Ses connaissances le prenaient pour fou. Peut-etre l'était-il. Dans tout les cas Cole voyait ce que les autres ne voyaient pas , ce que les autres ne veulent pas voir ou ne croivent pas voir. Il voit des créatures. Des espèces que la terre lui cachait encore. Cela l'obsédait, le tourmentait. La science n'avait plus de secret pour lui. Il excellait dans tous les domaines. C'est d'ailleurs pour cela qu'il se tournait vers le paranormal. Les mythes étaient-ils réels ? ( en cour )


Dernière édition par Cole Teris le Mer 25 Nov - 22:37, édité 2 fois
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Galia

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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeLun 23 Nov - 12:49

Arigatô ² !
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Naoki Akatsuki

Naoki Akatsuki


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeSam 24 Avr - 19:13



Nom:
Akatsuki
Prénom : Naoki

Surnoms : Nao-Kun, Kiki-Chan (appelé comme ça par sa cousine Sayuri Takada)

Age : 17 ans

Description : Naoki n’est pas ce qu’on pourrait appeler un beau jeune-homme. Son visage est en effet très fin et sa peau très pâle mais ce n’est pas vraiment un atout physique dans son cas, c’est plutôt un signe de malnutrition et d’un grand manque de sommeil. Si l’adolescent arrêtait de se maquiller les yeux en noir, on pourrait voir les grandes cernes qui les étirent. D’ailleurs, il se fait très souvent un trait de rimmel qui lui barre l’œil gauche. Simple chose fantaisiste ou maquillage astucieux ? Nul ne le sait.
Sinon, sa chevelure. Elle est longue et noire, coupée en un dégradé court devant et long derrière et qui part un peu en pétard derrière sa tête lorsqu’il a la flemme de se coiffer. Ses cheveux ébène font magnifiquement bien ressortir ses yeux d’un brun doux aux reflets d’or.
Quel est son meilleur atout ? Sans aucun doute, son sourire. Un sourire éclatant de joie aux dents bien blanches et droites, et qui est capable de rendre heureux n’importe quelle personne ayant un tantinet de sentiments.
Qu’est ce qui pourrait mieux décrire le physique de Naoki ? Peut-être l’image « maigre comme un clou », car c’est effectivement le cas. Mesurant 1m68 pour seulement 60kg, on ne peut pas dire qu’il soit un garçon bien en chaire. Il se rapproche plus du squelette vivant que des gravures de modes bodybuildées. Mais il assume totalement, c’est déjà ça. Histoire de cacher un peu sa maigreur, il porte beaucoup de tee-shirt large qui lui découvrent généralement une épaule tellement qu’ils lui sont grands. Il porte aussi beaucoup de pantalons noirs ou des treillis sur lesquels il aime bien rajouter des accessoires tels que des chaines ou des épingles à nourrice.
Que peut-on dire d’autre sur le physique de Naoki… ? Ah, on peut rajouter le nombre de piercings qu’il possède. Il en a donc quatre à l’oreille gauche, trois à la droite et un à la langue. Il les a faits sans la permission de ses parents, évidemment.


Bien, je crois que j’en ai assez dit sur son physique, passons à une étape d’autant plus importante.

Caractère : Eh bien… on va dire qu’il n’est pas aisé de décrire la psychologie de Naoki. En fait, elle se découpe en trois étapes. Je crois que je vais vous l’expliquer avec ces étapes.
Donc, étape N°1, avec ses calmants. Car oui, Naoki prend des calmants, vous comprendrez pourquoi lorsque vous lirez l’étape N°3. Mais nous n’en sommes encore qu’à la une. Donc, si Naoki suis bien son traitement, il n’y a aucun problème. C’est un garçon jovial qui sourit pour ainsi dire, tout le temps et qui ne pense qu’à faire tourner sa famille en bourrique. Pour plaisanter, Juuki l’a surnommé « la bombe de joie de vivre », c’est pour dire. D’un caractère un peu gamin, il s’amuse avec n’importe quoi et adore semer la zizanie dans la maison familial des Akatsuki, au Japon. Dans cette étape, il peut passer pour un garçon plus ou moins normal, heureux, qui voue un vrai culte à sa Fender noire et rouge (c’est une guitare électrique, pour les incultes *sort*). Naoki peut aussi se fasciner pour un rien. Prenons un exemple, vous le mettez devant une machine à café Senseo, il va faire une trentaine de cafés, sans les boire, juste parce que ça l’amuse de faire fonctionner la machine. Dans sa tête, Naoki a encore cinq ans, même si ça peut lui arriver de se montrer mature. Mais vous savez, ce n’est pas vraiment sa faute s’il est comme ça, il a passé plus de la moitié de sa vie, enfermé dans la maison familial, sans avoir le droit d’en sortir, mais ça, c’est encore une autre histoire, passons donc à l’étape n°2.
Dans cette étape, nous pouvons voir un Naoki totalement amorphe, qui ne sourit pas, ne s’amuse pas, dort pratiquement seize heures par jour, et qui est aussi moue qu’une limace neurasthénique. Pourquoi est-il comme ça dans cette étape ? Eh bien, parce que sa mère le drogue en plus de lui laisser prendre ses calmants. Pourquoi ? Peut-être pour calmer ses excès de joie qui la met hors d’elle. Dans cette étape, non seulement il est calme, mais en plus, il ne fera ne mal à personne. Mais Naoki ne souhaite qu’une chose : être traité comme une personne normale, ne pas être vue comme un monstre. C’est pour ça qu’il a essayé à plusieurs reprises de fuguer, mais on le retrouvé à chaque fois au bout de quelques jours. Et à chaque fois, sa mère augmentait ses doses. Il n’en pouvait plus de cette vie, sa seule échappatoire était, la musique. « Je veux vivre pour jouer, mais je dois jouer pour vivre », telle est le dicton qu’il se répète dans les moments difficiles. Ce qui peut nous amener à l’étape trois.
Dans l’étape trois, il ne prend aucuns médicaments et n’ait mit sous aucunes drogues, nous avons donc, le vrai visage de Naoki… et c’est peut-être la partie la plus effrayante de se personnalité. Car pour une raison inconnu du reste de sa famille, le jeune-homme à comme qui dirait des crises de folies. Il est totalement incontrôlable dans ces moments là, il ne sait plus qui il est, ni qui sont les personnes de sa famille, et il est capable des pires choses, sans même s’en rendre compte. Quoi par exemple ? Eh bien… tuer quelqu’un de la manière la plus violente qui puisse exister par exemple. Naoki a peur de cette partie de sa personnalité. En fait, il a peur de ce qu’il est vraiment, ou peur de ce qu’il peut faire. Généralement, après ses crises, ils tombent de sommeil et dort pendant des heures, à son réveil, il ne se souvient plus de rien. Chaque réveil est une nouvelle angoisse pour lui.
A cause de cette étape, Naoki a passait une grande partie de son adolescence en hôpital psychiatrique ou chez le psy, ordre de sa chère maman évidemment.
Mais pourquoi est-il comme ça ? Nous allons voir ça tout de suite


Histoire :

21 Mars 2008

C’est mon anniversaire aujourd’hui. Comment je le sais ? Eh bien, j’ai comptabilisé tout les petits traits que j’ai gravé sur le mur depuis mon arrivé dans cet horrible endroit. Aujourd’hui, je fête mes quinze ans, et grâce à la petite fenêtre qui se trouve dans ma chambre, je peux voir les premiers bourgeons sur les cerisiers. D’ici une semaine, une neige de pétale rose s’abattra sur la ville. Assis sur ma commode, la tête appuyée contre la vitre, je regarde ce magnifique paysage qui s’offre à moi, car je ne peux faire que ça, le regarder. J’aimerais tellement sentir le souffle de la brise printanière sur mon visage et pouvoir respirer à plein poumons l’air frais de dehors. Mais le seul endroit où j’ai le droit d’aller et qui se situe à l’extérieur de ma chambre, c’est cette cours au sol en béton et entourée de grillage. Une fois, j’ai réussis à attraper une fleur de cerisier dans ma main en tendant le bras à travers les mailles de ce grillage. C’était en avril dernier. Cette petite fleur, je l’ai précieusement gardé dans mon carnet où je l’ai faites sécher. Je la ressors de temps en temps. Pour moi, elle représente l’espoir et la liberté.
Mais alors que je pense à ça, je vois une voiture noire rouler dans l’allé qui mène à la prison où je me trouve. Enfin, prison, s’en est une pour moi, mais les gens préfèrent lui donner le nom d’asile Psychiatrique. Il est vrai que ça fait moins bagnard tout d’un coup. De cette voiture, sort une grande femme aux longs cheveux noirs. Je connais cette femme, et pour cause, elle n’est autre que ma génitrice. Vient-elle enfin me chercher ? J’en doute, je suis le monstre dont elle à peur après tout. Quelques minutes plus tard, j’entends le cliquetis de la serrure de ma chambre et la porte s’ouvre. Les cachets ont ralentis mon temps de réaction alors je mets une minute à me retourner et regarder ma mère.
__ Joyeux anniversaire, mon fils. Me lance-t-elle sans l’ombre d’un sourire.
Les médecins referment la porte derrière elle est elle s’assoit sur mon lit, sortant une cigarette.
__ Tu as mauvaise mine.
__ Comme toujours depuis que j’ai six ans. Je réponds en détournant le regard de la fenêtre.
Elle soupire et se relève pour poser sa main sur mon épaule osseuse.
__ Ecoute Naoki, des rumeurs commencent à courir sur toi à la maison, l’histoire du voyage en Europe ne marche plus.
Voyage en Europe ? Elle a donc cachée la vérité à tout le monde. C’est pour ça que je ne recevais jamais de visite, ou la moindre lettre.
__ Je vais te ramener chez nous.
Ai-je bien entendu ce qu’elle vient de dire ? Je me retourne lentement vers elle et la regarde dans les yeux. Pas de doute, elle ne ment pas. Je rentre enfin chez moi…




2 Fevrier 2010

C’était l’enfer aujourd’hui. J’ai faillit faire une crise en plein dîner de famille. Maman m’a entrainé jusqu’à la maison, m’a planté cette seringue où elle pouvait, et m’a laissé m’écrouler sur mon lit. J’ai comaté pendant quelques heures et lorsque je suis ressortit de ma torpeur, mes gélules et un grand verre d’eau était posé sur ma table de chevet. Et comme un bon fifils à sa maman, je les ai prit. Mais maintenant, c’est finit, j’en ai marre. Avant, il y avait Sayu avec moi, on pouvait s’amuser ensemble et elle m’aidait à tenir le coup, mais quand je suis revenu, j’ai appris qu’elle était partit vivre à Dublin avec sa mère. Je n’ai plus personne avec moi désormais, et aucune attache dans cette foutu maison. J’ai donc décidé de prendre la poudre d’escampette. Mettant quelques vêtements propres et mes boites de médicaments dans un sac, accompagné de mes affaires de toilette et de mon passeport, j’ai mit ma guitare dans sa house et je suis partis. J’avais évidemment prit la carte de crédit de ma mère et l’avais glissée dans la poche de mon pantalon. Après tout, c’est bien à cause d’une carte de crédit qui je suis comme ça.
Sortant par la fenêtre de ma chambre, je jette mon sac au sol et descend ensuite à l’aide de la gouttière. Je récupère ensuite mon sac et me dirige vers les remparts de la maison en me cachant derrière d’épais buissons. J’arrive au niveau des containers à ordure et monte dessus pour pouvoir passer par-dessus les murailles de bois. Au moment où mes pieds touchent le bitume du trottoir, je sens un grand sentiment de liberté m’envahir. Mais je n’ai pas le temps de trop me pencher là-dessus. D’ici quelques minutes, ma mère va se rendre compte que je suis parti et les servantes vont se mettre à ma recherche, puis les autorités. Mais ne pensez pas que j’ai fugué sans savoir où aller. J’ai un cousin qui vit à Dublin, il a un très grand manoir et il m’aime bien, autant tenter le coup, je connais le code de la carte de crédit de ma génitrice et mon passeport est toujours valide. Autant tenter le coup. Irlande, me voilà !


Dernière édition par Naoki Akatsuki le Sam 1 Mai - 19:36, édité 1 fois
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Seiryu 'Rin' Nanahara
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeLun 26 Avr - 21:22

Validé, une nouvelle fois x)
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Aisling B.

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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 2 Mai - 12:24

Nom : Blake

Prénom : Aisling

Surnom : Essayez de trouver un surnom à Aisling. Non ? Alors cette rubrique ne nous sert pas.

Âge : Dix-neuf ans.

Nationalité : Anglaise par sa mère, française par son père.

------------------------------------------------------------------------------------------------
Physique : Ce qui est le plus notable chez Aisling, c'est cette opposition entre deux caractères.

Elle a ce petit côté 'lady' qui lui confère une majesté automatique, celle des règles de bonne conduite qu'on apprend par coeur aux nobles dès leur plus tendre enfance. Elle bénéficie de ce teint de porcelaine, fragile et sans tache. De ces yeux bleus et doux, qui la font passer pour un agneau ; mais qui peuvent devenir orage et toiser d'éventuels adversaires avec un mépris sans bornes. Et de cette chevelure blonde à bouclettes qui parfait son image d'aristocrate intouchable.

D'un autre côté, il y a la clocharde. Son visage n'est pas fin, il a au contraire quelque chose de carré, sans grâce particulière. Ses mains sont nerveuses, rapides et agiles ; des mains d'artiste. Elle a toujours la clope au bec, toujours une frange devant les yeux, toujours une expression tantôt lasse, tantôt songeuse. On l'a très rarement vue sourire, encore moins rire. Ce sont ses yeux qui rient souvent, et lui donnent une palette de mimiques appréciables. Elle a l'expérience de la mauvaise vie, celle que les riches appellent 'l'autre côté'. Ça se sent.

Question vêtements, c'est très varié. Aisling porte aussi bien les robes de gala que les jeans / T-shirts. La plupart du temps, et ce depuis quelques années, sa tenue se résume en une robe noire et grise, réduite en loques par on ne sait quoi. De plus, elle est la plupart du temps pieds-nus. Ce qui accentue son allure de gamine maltraitée. Parce que oui, n'oublions pas de le préciser : à dix-neuf ans, la jeune fille mesure un mètre quarante-huit.

Mentalité : Indéchiffrable.

Comment savoir ce qui se trame dans la tête de Miss Blake. Déjà, essayer de psychanalyser une personne moyenne sans licence. C'est difficile, oui. Moi, je n'ai pas de licence de psychologue, et de toute façon, face à un cas de ce genre, toute licence est inutile. Soit la personnalité d'Aisling est trop complexe pour nous autres mortels, soit elle est juste trop simple. C'est vrai que quand on la côtoie, on ne peut pas dire que notre amie soit tourmentée par les problèmes insolubles de l'existence tels que l'origine du monde ou la conscience humaine. Aisling est une fille qui ne se préoccupe que des choses vitales de la vie : manger (et encore), boire du jus de mangue, jouer du saxophone, et bien entendu, dormir. Surtout dormir. Dormir beaucoup. Jusqu'à n'en plus pouvoir. Aisling préfère le sommeil au vrai monde. C'est un refuge pour elle, même si on ne peut pas dire que le monde lui fait peur.

Et là encore, deux traits de caractère : l'Aisling éveillée, et l'Aisling endormie.

L'Aisling éveillée est distante, taciturne. Elle a une voix de basse, enrouée, sans aucun charme. Elle en a un peu honte, mais bon, il faut bien vivre avec. Elle parle peu, donc, mais quand elle parle, c'est pour dire ce qu'elle pense. La jeune fille est sincère et honnête, peut-être trop des fois ; mais elle en assume toujours les conséquences. Ses paroles sont bien souvent jetées simplement, avec la légèreté qu'ont les conneries du genre « Il fait beau aujourd'hui, n'est-ce pas ? ».

Entre philosophie décalée et silence rêveur, Aisling a son mode de vie, sa manière de voir un monde qu'elle a longtemps parcouru. C'est une âme de bohème, qui aime les voyages et les découvertes, mais pas les aventures style Indiana Jones. Les parcours sans embûches, loin des tracas que les gens normaux peuvent avoir. Elle n'a jamais eu de réel travail, ni d'envie d'argent. La gloire, elle s'en sert pour aider les autres. Car Aisling est très généreuse, contrairement à ce que son caractère un tantinet renfermé pourrait laisser supposer. Elle aide les associations caritatives, est une des meilleures donatrices du WWF, et peut passer des nuits d'hiver entières en compagnie des plus démunis. Juste parce qu'elle aime ça. La jeune fille n'est pas une solitaire, loin de là. Même si elle vit seule et ne veut rien y changer, elle trouve toujours quelqu'un pour lui rendre visite, que ce soit un être humain où une petite bête recueillie dans la rue. Ainsi collectionne-t-elle les chats trouvés, les écureuils blessés et autres bestioles abandonnées. Il est difficile de la faire sourire, encore plus de la faire rire ; c'est pourtant une chouette fille toujours prête à aider les autres.

L'Aisling endormie est . . . comment dire ? Spéciale. Pas comme toutes les femmes endormies. Loin de là.
Déjà, elle est somnambule. Une vraie de vraie, parfois d'ailleurs, elle paraît même trop consciente de ce qu'elle fait et dit pour qu'on comprenne qu'elle dort. Parce qu'elle joue, drague, mange, se promène, et fume sans problème dans son sommeil. Les yeux fermés, Aisling devient une autre, et prend une personnalité qui reste d'habitude enfouie en elle. C'est gênant, c'est inédit, et on peut penser que c'est pour ça qu'elle persiste à vivre seule. Mais en fait, pas vraiment. Qu'on la voie se promener en chemise de nuit dans la rue ne la dérange pas. Ça participe même à la construction de sa légende. Non, ce qui la gêne, c'est que dans son sommeil, elle chante aussi. Et jamais, au grand jamais, elle ne laissera un caméraman la filmer à ce moment-là. Pourquoi ? Direction l'histoire.

------------------------------------------------------------------------------------------------

Histoire

Looking out on de morning rain
I used to feel so uninspired
And when I knew I have to face another day
Lord, it made me feel so tired
Before the day I met you, life was so unkind
But your love was the key to peace my mind

Cause you make me feel, you make me feel, you make me feel like
A natural woman

Elle a neuf ans. C'est son anniversaire, vingt-et-un juin ; des dizaines d'adultes sont là. Elle vient d'attraper un peigne en guise de micro , comme elle le fait souvent, et elle entonne « Natural Woman » d'Aretha Franklin. Les bonnes notes, le bon accent, des vocalises superbes. La petite bâtarde, une fois de plus, est puissante. Sa voix tonnante retentit dans tout le château, elle fait frissonner son père, qui a quitté un instant sa paperasse pour l'écouter. Et il y a quand même de la douceur, qui fait pleurer sa mère, assise aux côtés de son mari. Ses deux parents sont ici pour l'écouter, en silence. Heureux et ensemble. Aisling ne s'imagine pas le contraire ; pour elle c'est normal, ça doit être comme ça. L'homme d'affaires et noble français richissime, a rencontré la petite anglaise sans pedigree. Et ils ne doivent plus se quitter parce qu'ils s'aiment, et parce qu'ils l'aiment. Leur fille. Les yeux et la dignité de son père, le corps et le caractère de sa mère. Aisling est l'héritière des Beauvoir, donc d'une des plus grandes fortunes de France, et un jour, elle sera la plus grande diva que le monde aie jamais connue. Aisling est née pour chanter, tout son entourage le dit ; sa voix surpassera un jour tout ce qui a pu exister. Les médias se sont emparés de l'affaire. Ses rares enregistrements sont vendus à prix d'or. Elle est un prodige. Mais pour elle, c'est l'ordre des choses. Elle chante comme elle parle. L'important, c'est que ses parents sont là.

Sauf qu'à ses treize ans, ça se gâte. On lui découvre une infection chronique rare des poumons. « Mortelle ?! » demande sa mère, en larmes. « On ne peut pas se prononcer pour le moment », disent les médecins. « En tout cas, il ne faut surtout pas qu'elle force sur les activités physiques ». Bon. Et alors ? Elle va bien, ses parents aussi. Tout va bien.

When my soul was in the lost-and-found
You came along to claim it
I didn't know just what was wrong with me
Till your kiss helped me name it
Now I'm no longer doubtful of what I'm living for
Cause if I make you happy I don't need anymore

Cause you make me feel, you make me feel, you make me feel like
A natural woman

Elle a quatorze ans, et plus la même voix. Elle n'arrive plus à placer ses mots, son ton déraille. Elle se sent mal, très mal. Alors, elle prend la petite boîte incrustée de jade sur la table basse, en sort une des cigarettes de son père, et l'allume avec son briquet d'argent. C'est bon, le tabac. Doux. Elle en prend une autre. Elle finit par garder le briquet ; son père, qui a arrêté de fumer pour la santé de sa fille chérie, ne le remarque pas. Par contre, il remarque bien que la maladie d'Aisling empire catastrophiquement. Étrange, vu l'assainissement draconien de la maison, la surveillance permanente de son alimentation, les soins de tous les instants qui lui sont accordés. Les psychologues disent que c'est parce qu'elle 'ne veut pas guérir'. On finit par le penser.

A quinze ans, nouveau problème, son père ne lui parle plus. Déjà qu'avant, il ne lui parlait pas souvent, occupé qu'il est, mais maintenant, il ne lui téléphone même pas pour lui dire bonne nuit. A sa femme non plus, d'ailleurs. Il est devenu résolument muet. Il ne reste jamais dans la même pièce qu'elles. Que se passe-t-il ? Elle pose la question, personne ne répond. Elle augmente son quota à deux paquets de clopes par jour. Elle méprise et nie le mal qui la ronge de l'intérieur ; elle cherche ce qui ne va pas dans sa famille, pourquoi ses parents ne s'aiment plus. S'ils ne s'aiment plus, c'est qu'ils ne l'aiment plus, elle ? . . .

Clac.

Ce 'clac', elle le retiendra toute sa vie. Le 'clac' de la grande porte du château qu'on vient de lui fermer au nez, le vingt juin de la même année. Tu ne rentres plus, tu es grande, on t'a émancipée, tu as ton sac, tu te débrouilles. Tu n'es pas notre fille. Tu es une bâtarde, un gosse illégitime. Tu n'es pas une Beauvoir.

Bon, très bien. Puisqu'elle n'est pas une Beauvoir, elle sera une Blake, comme sa mère. Et elle retournera sur les trottoirs dont elle est venue, à Londres. Aussitôt dit, aussitôt fait. Aisling prend le premier ferry pour l'Angleterre. Elle débarque entant que clocharde moyenne ; pour se fondre dans la masse, elle déchire les bords de sa robe noire, histoire de ne pas trop avoir l'air d'une aristocrate. Et elle commence une errance tranquille dans tout le pays, pour revenir naturellement vers Londres. La patrie de sa mère lui plaît. Elle y enchaîne les petits boulots, dort dans le métro et sous les ponts, refusant de toucher à la somme plutôt coquette qui est toujours sur son compte ; fierté oblige. Entre-temps, sa voix continue à décliner, et elle n'ose plus chanter. Oublié, son rêve de paillettes ; elle ne sera jamais une diva. Jusqu'au jour où en passant dans une rue commerçante de la ville, elle a une illumination. Un saxophone étincelant, doré comme un chef-d'œuvre baroque, est au premier plan de la vitrine. Il lui rappelle si bien son ancienne vie, qu'elle en pleure. C'est la première fois de sa vie qu'elle pleure. L'un des vendeurs, qui prend une pause sur le pas de la porte, la regarde avec insistance, jusqu'à ce qu'elle se dirige vers lui. Elle veut acheter le saxophone. Celui-là ? Ben oui, celui-là, devant.

Le vendeur rit à gorge déployée. Désolé, ces instruments offrent l'excellence, et je doute que vous puissiez la payer. Regard entendu vers sa robe en lambeaux. Aisling rit. Et l'homme pâlit en la voyant sortir un chéquier de sa poche, et l'homme frôle la syncope en la voyant signer un chèque de six mille livres.

Aujourd'hui, Aisling Blake est une diva . . . oui, mais une diva du saxophone. Son talent est reconnu. Elle a sorti quelques disques, tous propulsés en haut des hits parade du monde entier ; les jeunes et les moins jeunes sont tous emballés. C'est un vrai phénomène qui s'est emparé de la planète, celui de la clocharde qui joue et enregistre en haillons, et malgré son appartement luxueux dans une mansarde anglaise, s'obstine à dormir sous les ponts. Elle ne se sépare jamais de son saxophone, ni d'un cahier de pages portées qu'elle remplit consciencieusement. A défaut de s'en servir, car Aisling improvise tout. Et c'est bien ce qui fait l'originalité de chacun de ses morceaux. Le blues, le jazz, tout prend une autre dimension joué par la 'magicienne aux clés'. Mais elle ne chante plus du tout. Au maximum trois mots, lancés entre les notes, que personne ne reconnaît comme venant d'elle. Les gens ne savent pas que des fois, la nuit, Aisling se lève dans son sommeil, séduisante et dévergondée, et chante de sa belle voix. Celle qu'elle avait autrefois. Heureusement qu'il ne le savent pas, parce que sinon, on en ferait tout un monde.

Oh, baby, what you've done to me
You make me feel so good inside
And I just want to be close to you
You make me feel so alive

Cause you make me feel, you mafe me feel, you make me feel like
A natural woman

Tout va bien. Ses parents ne s'aiment plus et ne l'aiment plus, mais quelle importance ? Elle s'aime, maintenant. Elle s'aime tellement que cet amour retombe sur les autres.

Autres : Enfin postée, hi hi hi.
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Enyinnaya Feinyx
Dangereux trafiquant de moutons.
Enyinnaya Feinyx


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeVen 7 Mai - 20:46

Présentation validée, groupe ajouté !
Allez, encore un à gérer x)
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Deidre Fairfax

Deidre Fairfax


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeLun 14 Juin - 23:21

Deidre Fairfax

Âge : 17 ans et des brouettes

Description physique : Deidre est jolie. Pas belle, non, mais avec… du piquant. Rousse aux yeux verts, dans les 1m55, mince mais féminine… Un lutin. Il se dégage d’elle une impression (tout à fait erronée) de fragilité. Elle pratique l’Aïkido à un bon niveau, elle est donc souple et légèrement musclée.

Elle a un style vestimentaire classique pour la vie de tous les jours : pantalons près du corps sans être moulants, robes et tops en maille légère, chaussures plates… Elle privilégie le vert et le feuille morte pour s’habiller. Pour sortir par contre, son style est plus féminin, pour ne pas dire provocant. Robes ras la conscience (comme disait ma grand-mère), décolletés, talons vertigineux… Et du noir, du noir, du noir. Elle a un franc succès, dont elle profite discrètement, afin de ne pas peiner sa famille.

Pour ceux ou celles qui pourraient le voir, Deidre a d'anciennes cicatrices sur les épaules et les reins.

Description morale : Deidre est tout le temps souriante, de bonne humeur… mais peut connaître des colères terribles. Caractère de rousse, quoi… Elle déteste les disputes et est tout à fait capable de s’écraser même si elle a raison, pour éviter un conflit. Par contre, elle ne supporte pas l’injustice dès que d’autres personnes en sont la cible. Elle adore les enfants, a plus de mal avec les jeunes de son âge, aucun problème avec les adultes. Elle ne pratique pas d’art (elle
prétend être née avec 4 pieds gauches), mais apprécie les disciplines de combat. Elle a une capacité innée à se mettre dans les problèmes pour cause de curiosité irrépressible. Elle est aussi profondément gentille, mais s’arrange pour que ça ne se sache pas trop, dans le milieu où elle évolue depuis bientôt 5 ans, c’est en effet plutôt une tare…

Histoire : Née à Plockton (Écosse), Deidre n’a jamais connu son père, marin au long cours ayant décidé de prendre une pause définitive lors d’un voyage aux USA. Elle a été élevée par sa mère, infirmière au dispensaire local, jusqu’à la mort de celle-ci, quand l’enfant avait 9 ans. A été alors récupérée par un oncle. Un an plus tard, ils font la une des journaux : l’homme est mort, tué d’une balle en plein front par l’enfant, qui avoue immédiatement avoir prémédité son geste. L’histoire fit grand bruit, surtout quand il apparut que le procès se déroulerait à huis clos, compte tenu de la gravité des faits, de la peine encourue et de l’âge de la fillette. On ne sait pas trop ce qu’il advint au procès, mais l’enfant fut relaxée, et envoyée hors d'Écosse pour sa propre santé mentale, étant bien entendu la cible de tous les paparazzi pendant un temps. Compte tenu de son âge et de son histoire, n’a pu être adoptée.

Cependant, quand elle eut 13 ans, elle fut remarquée par Ian O’Riain et son épouse Coleen lors d’un pique-nique organisé par une œuvre de bienfaisance au profit de l’orphelinat où celle-ci séjournait. La bonne humeur et le charme de l’adolescente les convainquirent de l’accueillir chez eux et, s’ils ne l’adoptèrent pas, en l’absence d’autres enfants, elle est passée rapidement du statut de pupille à celui de fille de la famille.

Son éducation fut confiée au meilleur collège privé de la ville, où elle connut des avanies tout à fait spécifiques aux personnes « normales » intégrant un établissement privé terriblement chic. Heureusement, son aptitude à se faire des amis –ou tout du moins des copains- étant énorme, elle n’en souffrit pas trop… En apparence. C’est curieusement à cette époque qu’elle se mit à l’Aïkido.

Bref. Actuellement en terminale scientifique dans le lycée jouxtant son ancien collège, elle a pris un job de pionne dans celui-ci, afin d’apprendre la vie, selon ce qu’elle a déclaré à Ian, très heureux que la jeune femme soit du genre à se prendre en mains.
En fait, elle s’ennuie
profondément, c’est tout.
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Enyinnaya Feinyx
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeMar 15 Juin - 18:20

Eh bien, bienvenue chez les fous ! Naaan, on est sympa en fait =D

Présentation validée, groupe ajouté, si tu veux un rang particulier, suffit de demander Wink
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Kerry Scrios
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MessageSujet: Key le brave   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 20 Juin - 1:58

Kerry "Key" Scrios


Kerry, dit Key pour les intimes est un homme de quarante trois ans dont l'éducation a été marquée par la guerre civile irlandaise. A commencé par le fameux Bloody Sunday, plus lointain souvenir qu'a en tête ce fier irlandais. Un évènement durant lequel il perdit une cousine, touchée par les coups de feu de la police britannique. Ses parents, des gens bien sous tout rapports et qui avaient jusque là toujours manifesté pacifiquement déménagèrent alors. Désormais chaque jour, le jeune Kerry passait en courant sous une bannière sur laquelle était écrit "Óglaigh na hÉireann" avant de prendre chacun de ses repas au réfectoire du Q.G. Son père représenta bien vite un don incroyable pour l'organisation qu'il avait rejoint du fait de son métier d'ingénieur en matériel de destruction... Entendez par là artificier civil. Il mit ses compétences au service de ces hommes qui restent encore aujourd'hui gravés dans l'esprit de Scrios comme étant des êtres durs mais bons. Il se souvenait les cadeaux qu'il recevait à son anniversaire aussi bien que les taloches qu'il avait reçu lorsqu'il s'amusait là où il ne le devait pas. C'est à cette période de sa vie, lorsqu'il était totalement dépourvu de contraintes parentales et qu'il se retrouvait brusquement soumis à une discipline de fer lorsqu'il venait dans le laboratoire de son père, qu'il développa cette particularité psychiatrique qui le caractérise encore aujourd’hui. Kerry est une sorte de Mister Jekyll et Docteur Hyde. L’inversion des titres n’est pas fortuite. C’est un homme qui vit sans véritable inquiétude et qui fait ce qui lui plait sans se soucier de la moral et des bonnes moeurs. Il a déjà passé plus d’un séjour en cellule de dégrisement et a été inculpé pour des délits mineurs. Des choses qu’il ne doit qu’à sa première personnalité, joyeuse et extravertie. La seconde, cependant, n’a jamais été punie. Elle est la froide ombre qui se répand dans le méandre de sa pensée lorsque sa vie est mise en danger ou qu’on s’en prend aux personnes qu’il a de plus chères. Un être qui n’est pas motivé par la passion mais par le calcul le plus froid, terrifiant de par son manque d’humanité.

Depuis toujours habitué à jongler entre son dynamisme physique et les facultés de concentration que son père tenait à lui inculquer en le faisant travailler dans son laboratoire, les facultés d’apprentissage du jeune homme qu’il était furent vite remarquées. Il trouva une place dans un bon College où il étudia l’anatomie. Il n’obtint cependant jamais le moindre diplôme, rappelé d’urgence au pays à la mort de son père. Les vieux amis de celui-ci, des terroristes aigris par la tournure qu’avaient pris les choses, lui proposèrent alors de remplir quelques missions pour eux. Chose que refusa le brillant étudiant si dynamique... Pourtant, des attentats eurent lieu et Kerry ne douta pas un instant qu’ils avaient trouvé quelqu’un d’autre pour commettre ces actes. Jusqu’à ce qu’un soir il découvre ce terrible secret qu’il se cachait à lui-même. Alors qu’il n’arrivait pas à retrouver la clef qui ouvrait le dernier tirroir de son bureau, il finit par se lasser et – poussé par son attitude impulsive – brisa le loquet pour ouvrir le meuble. Il reconnu le pain de plastique sans même avoir à faire un mouvement de plus. L’arme quant à elle du attendre d’être examinée avant que le sigle du fabriquant ne lui apparut. Il y avait avec deux boîtes de cinquante cartouches, dont une était vide de moitié... Le revolver ne disposait que d’un barillet de six coups... Jamais ce brillant jeune homme ne termina ses études.

Tandis que beaucoup auraient cherché du côté de la psychanalyse, Kerry se fia à son instinct et décida de quitter les Royaume-Unis, lieu synonyme de guerre interne à ses yeux... Il prit alors la plus étrange décision qu’un homme qui cherche la paix intérieure puisse faire. Il s’engagea dans la Légion Etrangère. Il n’a de souvenirs de cette période que les moments qu’il avait passé à s’entraîner en France et les deux ou trois nuits tranquilles qu’il avait pu connaître en expatriation. Les autres moments de ces six ans de sa vie appartiennent à quelqu’un d’autre que lui. Quelqu’un qui partage son corps mais pas sa joie de vivre. Agé de quelques vingt-sept ans, Scrios tenta une nouvelle approche de son problème. Il se dirigea vers la méditation et le travaille intérieur, trouvant par la même un moyen d’exploité sa vitalité en pratiquant les arts martiaux.

Il fit le tour du monde, vivant de sa solde qu’il avait à peine entamée durant ses années de service dans une nation qui n’était pas la sienne... Pas l’une des siennes. Il effectuait toujours quelques travaux annexes, profitant de ses compétences en médecine ou en ingénierie pour aider les personnes les plus modestes qui bien souvent lui offraient le gite et le couvert en échange. Durant cette vie de bohème il découvrit son corps plus que jamais auparavant et commença à effleurer l’existence de son double machiavélique. Contrairement à ce qu’il avait pensé jusque là, voyant son alter égo comme une sorte de dément assoiffé de sang qui n’avait pas conscience d’être une autre personne le reste du temps, il découvrit un être parfaitement maître de soi, froid et calculateur. Il passa un an en Europe, une autre année en Amérique du Nord, deux en Amérique du Sud et sept en Asie, dont quatre en Inde où il découvrit l’art du Yoga et les secrets les plus ambigüs du Kamasutra.

Depuis cinq ans revenu aux Royaume-Unis, cet homme accompli ne cesse d’en faire à sa tête sans s’inquiéter des conséquences tant que celles-ci ne mettent pas en péril la vie de personnes auquel il tienne vraiment – lesquelles sont éparpillées un peu partout sur le globe sans qu’aucunes ne soit en Angleterre. Les personnes desquels il est le plus proche sont sans aucun doute quelques artistes martiaux avec qui il entretient des relations qui visent à perfectionner ses facultés. Il pense aujourd’hui pouvoir faire face à ce qu’il appelle parfois de façon assez évasive des "crises".

Key est un homme au charme pour le moins inquiétant, il a son dynamisme d’adolescent pour lui, lequel se mêle à une impression de danger qu’il dégage avec une bonne humeur intrigante. En effet, il y a dans ses sourires et ses mouvements fluides la sourde menace d’un pouvoir meurtrier que seul l’instinct sait déceler sinon la vue d'un être expérimenté. Et c’est ce danger qui contribue tant à cet attrait qu’il suscite chez les femmes et certains hommes. Outre cette sensation qu’il propage sans parfois même en avoir conscience, on peut trouver chez lui les atouts d’un homme rompu au combat sans pour autant avoir subit de trop graves blessures. Il a la stature droite, les épaules carrées et une certaine amplitude musculaire. Son regard est emprunt d’épreuves peu communes pour les habitants d’un pays un tant soit peu civilisé. Il porte généralement pantalon, chemise et veste bien qu’il lui arrive parfois d’y ajouter une cravate ou d’opter au contraire pour une tenue entièrement dédiée à l’entraînement physique. Il vogue d’appartement en appartement dans toutes les grandes villes, souvent pour éviter de faire des rencontres qui lui ôteraient cette liberté de mouvements qu’il chérie tant. Ses yeux sont d'un vert sombre et profond, ses cheveux d'un noir de jet, il mesure près d'un mètre quatre-vingt dix pour un poids avoisinant les quatre-vingt cinq kilogrammes.
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Ades Tiert
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 20 Juin - 11:38

Très bonne présentation, personnage intéressant dont j'aimerais voir l'évolution.

On ne peut que te valider et te souhaiter la bienvenue sur le forum ! Bon courage parmi les fous.
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Enyinnaya Feinyx
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 20 Juin - 11:50

Je ne peux qu'approuver Constantin et te souhaiter la bienvenue parmis nous.
Présentation validée, groupe ajouté, have fun !

PS: une envie de statut particulier ?
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Kerry Scrios
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 20 Juin - 12:35

Merci beaucoup.

Quant au statut je verrais bien : "Mister Jekyll and Docteur Hyde".
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Edge Koboi
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeSam 17 Juil - 13:50

Non non vous ne rêvez pas I'm back...définitivement^^

Nom: Koboï
Prénom: Edge
Surnom: Aucun
Espèce:
Hybride "Humain-Fée" (crée artificiellement)
Age: 85 ans

Description:
Edge est un homme au teint légèrement halé et aux cheveux noir. Grand (1.76m) et physiquement plutôt séduisant, il possède une bonne carrure

Caractère:
Edge malgré sa jeunesse et sa richesse vit à l'écart du monde, plongé constamment dans ses recherches et ne sortant que rarement de ses gigantesque laboratoires. Sous ses airs doux et gentils, il cache une haine pour les humains et pour les fées qu'ils jugent primitives et
barbares et il ne vit que dans l'optique de développer le potentiel de ces races. Il est extrêmement intelligent et parvient sans problèmes à cacher ses desseins.
Tous le monde hormis son entourage proche ignore ces plans et ces agissements criminelles.
Ironiquement, il est considéré comme l'un des plus grands bienfaiteurs de l'Humanité
.

Buts dans la vie: Son principal but dans la vie est de diriger le "destin" de l'humanité, car même si il les déteste, il pense qu'il peut en faire quelques choses de mieux. Mais pour arriver à son idéal de perfection il fait commettre des actes atroces comme des attentats, des assassinats et autres exactions du genre. Pour être précis, il n'aime pas l'Humanité sous sa forme actuel: il la trouve, primitive, barbare, violentes... Il sait qu'elle possède un immense potentiel mais il trouve que celui-ci est gâché par ses "vices".
Ces raisonnements et ses actions sont identique à l'égard des Fées.
Dans un sens philosophique et poétique, il fait le mal pour créer le bien.

Histoire:
Sur notre bonne vielle Terre, qui ne connaît pas Artizual Koboï? Peude gens en fait!

Officiellement, c'est l'un des hommes les plus puissants de la planète, patron des Laboratoires Lithium l'entreprise la plus puissante du monde. Révolutionnant sans cesse la vie des humains, il est l'auteur de bon nombre de découvertes et de technologies dans la dernière décennies qui font que le monde telle que nous le connaissons existe!
Officieusement, son histoire est plutôt sombre. Pour commencer, ce n'est pas un humain mais un hybride, croisement entre l'humain et la Fée (Gnome pour être précis) crée artificiellement par Opale Koboï à partir de l'ADN d'un Américain surdoué et de son propre ADN! Crée en 1925 pour permettre à la puissante fée de régner sur le monde, il parvint à s'enfuir après 25 ans de captivité vers la surface et échoua sur l'île de la Barbade.
Une fois dans le monde des humains qui sortait de la seconde guerre mondiale, il commença à s'adapter dans son nouvel environnement. Mais il s'aperçut que l'Humanité n'était pas vraiment la meilleur compagnie qui soit. Néanmoins, il vit dans cette race barbare, violente et primitive un immense potentiel caché et depuis lors s'obstine par tous les moyens d'essayer de la dévoiler. Grâce à son intelligence féérique, il créa en 1990 une entreprise comme aucun humains ou fées n'en avaient jamais vues. Avec les fonds gagnés par Lithium, il finança ses recherches et plusieurs opérations visant à "dévoiler le bon de l'Humanité" comme il le dit. Mais ces opérations ne sont pas du genre à être crier sur les toits: Attentats, assassinats, et autres exactions de ce genre. Et bien que ce sont des actes le plus souvent atroce, elles sont à ses yeux utiles pour éradiquer les vices de l'Humanité.
En l'an 1995, peux après la fin des fêtes du nouvel an, il découvrit en Egypte quelques choses qui changera sa vision de l'Univers et qui lui permettra de lancer les fondements pour son Humanité parfaite.Cette chose permit à Edge de posséder une connaissances immensément supérieur à celles des Fées. Elles ont permis par exemple de construire les Laboratoires
Lithium, la plus fabuleuse constructions de tous les temps autant pour les Humains que pour les Fées.
Peu après l'Affaire Fowl, il se rendit compte que les Fées ne valaient pas plus que les humains et commença à l'instar des êtres de boues à manipuler l'avenir des Fées pour les rendre parfaites. Il commença par créer une Alliance secrète entre Lithium et les FAR. Puis il fit le même genre d'exactions que chez les humains.
De nos jours, il sort de plus en plus de ses Laboratoires, parcourant le monde à la recherche de tous ceux qui pourraient être utiles à ses yeux.


PS: non c'est un cauchemar que vous faites
...
...
...
...
...
...
ou pas
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Andrei Nikolai

Andrei Nikolai


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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeDim 18 Juil - 23:48

Bon, je vous préviens... c'est long ! Mais comme ça faisait longtemps, j'ai pas pu résister à l'envie d'écrire un fleuve ^^'



Tribunal Pénal de Moscou


Référence de Dossier: NA4 301178 NM678455 SZFO

________________________________________


Le suspect est un homme mesurant 1m82 et de type caucasien.
Cheveux blonds, yeux gris et carure moyenne.
Il semble pouvoir parler le russe, mais ce point reste à déterminer.
Ci-jointe, la fiche du Commissariat Central de Moscou.

Type: Caucasien
Taille: 1m82
Couleurs des cheveux: Blonds
Couleurs des yeux: Gris


Nom: (Supposé) Nikolaï
Prénom: (Supposé) Andreï
Age: (Supposé) 22 ans


Nationalité: Russe
Lieu de Naissance: (Supposé) Narian-Mar, District Autonome de Nénétsie, District Fédéral du Nord-Ouest, Fédération de Russie.

Adresse: Napoleon Hostel, Maly Zlatoustinsky per.2, Moscou, 101000
Métier: (Supposé) Consultant en Sécurité

----------------------------------------

Le suspect a été appréhendé suite à une fusillade, à laquelle il aurait pris part selon
plusieurs témoins. Aucune arme n'a été retrouvée sur lui, et ses
empreintes ne correspondent à aucunes de celles relevées sur les lieux.

Les chefs d'accusations retenues contre lui sont les suivantes:

Code:
"Faux
 et usage de faux",
"Complicité de meurtres"
"Meurtres et
tentatives de meurtre"


Le suspect n'a pas demandé à faire appel à un avocat et a été transféré

____________________________________________________________


Le suspect n'a pas prononcé le moindre mot depuis son arrestation, mais son identité (supposée ?) a néanmoins pu être établie grâce à ses papiers. Les témoins étant revenus sur leurs dépositions, le suspect a été relâché fautes de preuves avant le début du procès et sur décision du procureur. Il n'a pas souhaité porté plainte en
diffamation contre les plaignants.

L'enquête de police a cependant pu établir que ses compétences intelectuelles et physiques sont plus que limitées, réfutant clairement les accusations portées contre lui par les plaignants et le Ministère de la Justice.

Étrangement, selon ses surveillants à la Prison Fédéral de Moscou, le suspect ne semblait pourtant souffrir d'aucun des troubles mentaux et physiques décrits dans le rapport de police et dans les expertises médicales de l'orphelinat où il aurait grandi. Aucune investigation n'a pu être menée à ce sujet, le suspect refusant de s'adresser à qui que ce soit ou de participer aux activités sportives au sein de la prison.

Il n'est toujours pas possible à l'heure actuelle de déterminer avec certitude l'identité du suspect, ses papiers d'identités ne permettant pas d'établir autre chose que ses nom, prénom, lieu et date de naissance. Il a été possible de retrouver son domicile en recoupant l'identité établie par ses papiers avec le registre des hôtels de la Préfecture de Police. Aucune arme n'a été retrouvée dans la chambre d'hôtel.



________________________________


Physique... Check !
Background... Check !
Histoire... A pas ! Andrei Nikolai n'a pas d'histoire. Andrei Nikolai existe, c'est fait, mais c'est tout.


Bon, allez, Manque plus que la psychologie, qui sera dévoilée au cours d'un petit rp. Faut pas m'en vouloir, fais longtemps que je n'ai plus touché à ça.

________________________________



Il fait sombre dans la salle d'interrogatoire. Un petit ventilateur en métal qui tourne sans raison, placé entre la lampe et mon visage, lampe elle-même braquées vers moi.
Ce flic... il a vraiment vu trop de films américains... Et il pue la vodka. Je le sens depuis l'autre côté du bureau alors qu'il n'est pas encore dix heures... Ce n'est pas la première fois qu'on se voit. On en est au quatrième interrogatoire en cinq jours, le premier avait duré dix-sept heures... Je remue un peu sur ma chaise inconfortable à laquelle mon derrière semble avoir fini par s'habituer. Quand vont-ils finir par tenir parole ?


- Bon, alors tu y faisais quoi dans la Begovoy proyezd, hein ?


Il s'impatiente, déjà, face à mon silence. Il sort une cigarette et l'allume. On a beau être dans un entresol, les fenêtres au ras du niveau du trottoir, il fume.
Le stéréotype, la caricature... Le quadragénaire frustré de n'être encore que lieutenant de police, rêvant toujours de devenir commissaire, sans trop y croire. C'est triste. Malheureusement pour lui, l'administration russe n'a guère évoluée depuis l'époque soviétique. S'il n'a pas les bonnes connections, il n'avancera jamais. Et s'il est ici, c'est qu'il ne les a pas...

- Écoute-moi bien... Les petites frappes dans ton genre, ça me connait, tu sais... Alors tu finiras par parler, crois-moi... Tu étais venu pour descendre Piotr, c'est ça ? À toi tout seul ? Mais qu'est-ce que tu crois pouvoir faire contre la bande à Britva ? Niet ! Tu ne peux rien faire ! Il est intouchable ! Le FSB et tout ça, tu connais ? Qui c'est que tu voulais venger ? Ton père ? Ta mère ? Un frère ? Une sœur ? Un cousin ?


Ah, tu y étais presque mon vieux. Enlevons juste "petite frappe" et "intouchable", ce sera parfait. Parce que oui, je voulais vraiment le descendre le Piotr. Rien de bien personnel, ni de professionnel d'ailleurs... Juste pour pour sauver ma peau... Il est mort d'ailleurs.
Le policier se lève, calmé par sa dose de nicotine. Je tends la main pour lui en demander une, qu'il finit par me tendre après quelques hésitations, faisant ensuite glisser le paquet d'allumettes vers moi à travers le bureau.

- Mais tu te débrouilles avec tes menottes, Alexandrov... D'ailleurs, c'est quoi ce nom ? Un faux, pas vrai ? Tout le monde le sait... Je sais pas comment tu as fait pour créer les fausses références dans les serveurs au Ministère de l'Intérieur et tout, mais c'est du pipeau, c'est évident... Tout le monde s'en doute !


Vraiment ? Si c'est le cas, alors dis-moi pourquoi est-ce que je ne croupis pas déjà quelque part en Sibérie, dans une quelconque prison ? Tu ne sais rien, bonhomme... Rien de rien...
Le téléphone se met à sonner. Il décroche et marmonne quelques mots, avant de me regarder, une lueur d'incompréhension habitant le fond de ses yeux mornes, seule expression habillant son visage las et fatigué. Il raccroche et fait le tour de son bureau, pour s'asseoir sur le coin de celui-ci, face à moi.

- Hum... Alors, je commence par quoi ? La bonne ou la mauvaise nouvelle ?


Comme tu veux, coco... C'est pas vraiment mon problème, tu vois...

-On vient de repêcher Sergueï Britva dans la Volga, mort. Suicidé d'une balle dans le dos, comme au bon vieux temps du KGB...


Il ricane, presque amusé, et contemple le vide comme s'il se replongeait dans d'anciens souvenirs.
Mauvaise nouvelle ? Et pourquoi ? Les autres ont continués le ménage, comme prévu, c'est tout... Sergueï était le frère et bras droit de Piotr. À partir du moment où l'on tuait l'un des deux, l'autre aussi devait mourir. Pas pour éviter une vengeance, non, loin s'en faut. Parce que Sergueï nous avait aidé à monter l'opération contre son frère alors il ne risquait pas de vouloir se venger... Mais ce qu'il n'a su que trop tard, c'est qu'il était l'autre nom sur la liste.

- Tous les potes et larbins des frères Britva enfin,... ceux qui ne se sont pas pris de camions alors qu'ils roulaient sur le périph' ni renversés par une voiture en sortant de la leur, sont en train d'essayer de se battre pour le titre de grand chef de la Mafiya de Moscou, et tu sais comme moi ce que ça veut dire...


Il me regarde d'un air entendu, sourire en coin.
... À savoir que venger les frères Britva ne peut être qu'un bon point pour ceux qui sont dans la course... Et je suis le seul responsable connu... Il ne serait difficile à personne de tout me mettre sur le dos, de faire de moi le cerveau de toute l'affaire... Pour m'abattre d'une balle dans le dos dès que je sortirai du Palais de Justice, à l'instant même où les rayons du soleil frapperaient mon visage. Je suis mort, déjà... Dommage...

- Pourquoi est-ce que tu t'es mêlé de tout, Alexandrov ? Le FSB et tout ? Parce que ça, c'est évident, et ça explique tout... Ils ont voulus se débarasser d'un ami qui devenait gênant... Il ne faut jamais travailler pour ces gens-là, jamais. Mais quoiqu'ils t'aient promis, ils vont le faire, même si je ne sais pas pourquoi. Avant, on t'aurait retrouvé pendu dans ta cellule, mais... Les témoins se sont rétractés. Ils sont tous passés ce matin au bureau du procureur et ont demandés à le voir, les uns après les autres. Assez nerveux d'après lui...


Ça, c'était la bonne nouvelle... Je souffle, l'impression qu'un poids vient de s'évanouir de mes épaules. J'ai peut-être encore une chance de m'en sortir, ils ne vont pas se débarasser de moi...
Il me fais signe de lui tendre mes mains et m'enlève mes menottes avant de se diriger vers la porte, qu'il m'ouvre en grand, un air cynique recouvrant son visage.

- Mais je dois dire que tes amis et toi, vous l'avez bien montée votre petite affaire. Tu es libre, Alexandrov Petrovitch, ou peu importe ton nom... Libre de choisir entre l'enfer ou le paradis !


Je le contemple une fraction de seconde avant de me lever.
Au fond, il m'a l'air sympathique, pas bien méchant... Il me semble plus triste qu'autre chose. Non... mélancolique. Je me lève et passe sans un regard pour lui et m'engage dans le couloir. Il prononce alors quelques mots d'une voix de stentor, claire et audible, au tremblement certain mais presque maîtrisé. Des mots qui paraissent vouloir me transpercer le coeur, tels un poignard d'acier, froid et aiguisé.

- Comme mon fils avant toi!


Mais la lame se heurte en vain à mon coeur de pierre avant de rebrousser chemin, apeurée par la certitude inébranlable qui m'habite tandis que je m'avance à travers les couloirs du Palais de Justice.
La certitude que je survivrais.

Le soleil m'innonde à l'instant où je franchis les imposantes portes, tandis qu'un certain bonheur irradie en moi, celui d'avoir vainc... Un choc, instantanément suivi d'une explosion, comme celle d'un pétard. Du sang qui gicle de mes flancs, abreuvant le sol de pierre. Une douleur indescriptible qui m'envahit, irradiant elle
aussi à travers tout mon corps à son tour... Je tombe à genoux, tandis que les silhouettes floues des gens autour de moi s'éloignent en criant. Un homme se penche vers moi, me dit de tenir... Des sirènes, une
ambulance sans doute... Le noir... Et le réveil à l'hôpital.


- Dix de vos quinze amis sont encore en vie, vous les retrouverez à l'aéroport. Les autres ont été abattus, soit par nous en essayant de fuir le pays, soit en pleine opération. Officiellement, Alexandrov Petrovitch est mort dans l'ambulance l'amenant à l'hôpital il y a deux jours. Il a été enterré hier au cimetière militaire, dans une tombe anonyme, et n'a jamais existé. Toutes les traces de cette identité ont été méticuleusement effacées, comme ce fût le cas auparavant pour votre véritable nom. Vous vous appelez désormais Andreï Nikolaï. Tout ce que vous devez savoir se trouve dans ce dossier. Apprenez-le entièrement, et brûlez-le ensuite. Il y a un compte à ce nom à la Bank of Ireland, l'argent a été versé dessus comme promis. Partez pour Dublin dès que vous serez remis, inscrivez-vous à la faculté, ils vous attendent, et faites-vous oublier. Vous avez rendu un grand service à l'État, mais je vous préviens. Vu votre excellent travail, nous ferons
très certainement de nouveau appel à vous un jour.



J'acquiesce, retenant mes larmes de rage, et l'individu en costume-cravate part, laissant un dossier dans le tiroir de la table de nuit. Ils avaient promis de nous laisser tranquille après ça... ils avaient promis... Mais ils auraient aussi pu nous tuer, et ils le peuvent toujours. Tout ça parce qu'un jour nous avions trouvé amusant de rentrer, avec quelques amis, dans les serveurs du FSB... On aurait pu finir dans un camps en Sibérie, mais ils avaient besoin de quelqu'un d'anonyme et de "jetable" pour tuer quelques personnes.
Nous savions tenir une arme, ça leur était plus que suffisant. Nous n'avions jamais tué, ça leur importait
peu.


"Nous vous donnons toutes les informations dont vous avez besoins, et un crédit de cinquante-mille euros pour l'opération, ainsi que de faux noms tout ce qu'il y a de plus vrai. Vous avez deux semaines, faites comme vous voulez."

Je me demande comment ils vont Boleslav, Piotr, Dmitri et les autres... Qui est encore en vie, qui ne l'est plus. Nous sommes des tueurs, maintenant. Si jeunes, comment est-ce possible ?
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mattluffy

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MessageSujet: présentation James Howrard   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeLun 2 Jan - 23:26

Nom : Howrard
Prénom : James
Age : 39 ans
Espece : Humaine


Biographie : James est né il y a 39 ans dans un petit appartement à Dublin en Irlande. Il avait 3 frères tous plus grand que lui mais aucune sœur. Ses parents étaient des gens de bas quartier vivant dans la misère. Son père le battait lui, son frère et sa mère. Très tôt James avait commencé la boxe suivant ses frères. Incroyablement doué pour ce sport, il avait gagné plusieurs compétitions et on lui-même proposé de venir dans une école spécialisé qui accueillait des professionnels. Son père a refusé prétextant que c’était bien trop cher mais le prof de boxe de James (avec qui il a loué des liens très fort) a proposé de lui payer l’entrée de cette école. Son père ayant refusé, James est parti, brisant tous contacts avec sa famille. Il est parti vivre avec son professeur de boxe et est ensuite entrée dans l’école spécialisé dans laquelle il désirait aller. A 16 ans il a commencé le judo, la boxe thaïe et le taekwondo. A 18 ans il a commencé à suivre un entrainement de garde du corps. Il a commencé à exercer la profession a 23 ans et changent régulièrement de principal.

Qualités : Intelligent, très sportif, très fort, imperturbable
Physique: Il est très grand, il mesure en effet 2 m 5, il est également très musclé. Il a les cheveux noirs, les yeux vert bleu surmonté de gros sourcils broussailleux. Il a également un long nez fin. Son visage est très pale, blanc comme un linge. Il a de longues jambes robustes dû à son entrainement sportif. Mais malgré son physique de brute sans cervelle il est très intelligent.
Métier: Garde du corps depuis qu’il a 23 ans.
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Enyinnaya Feinyx
Dangereux trafiquant de moutons.
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Date d'inscription : 24/04/2010

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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitimeMer 4 Jan - 19:01

Bienvenue sur le forum !

Comme tu as pu le remarquer, le forum est actuellement inactif, de plus, comparé aux présentations des autres joueurs, ce que tu as posté est bien en deçà de ce que nous attendons sur ce RPG. Je te conseille donc de lire les présentations des autres membres et de prendre exemple sur ce qu'ils ont fait. Je n'attends pas forcément autant de longueur que les autres mais de la qualité. Je veux des détails sur sa vie, son caractère, ses réactions. Le seul moyen pour montrer ça est, soit de faire un "test RP" dans ta présentation sur une situation que tu veux, soit de faire ta présentation directement en RP comme la plupart des joueurs l'ont fait ici.
Pense également à prendre un peuso correct qui correspond au nom de ton personnage et à faire attention aux fautes de frappe, d'orthographe et tout autre oubli de mot. Tu peux éditer ta présentation à volonté donc n'hésite pas à abuser du bouton "éditer" Wink
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MessageSujet: Re: Présentations des humains   Présentations des humains - Page 5 Icon_minitime

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