Juuki Akatsuki

Nom: Akatsuki

Prénom: Juuki

Surnoms: Ju-Kun, Aka-Chan (réservé aux personnes proches)

Pseudo: Gabriel Banks

Âge: 17 ans

Nationalité : Japano-Irlandais

Métier : Tueur à gage, gérant d’une entreprise d’import-export d’armements

Description: Je ne vais rien vous cacher. Je vais vous décrire cet adolescent pas comme les autres dans les moindres détails. Dans quel but ? Bah, pour que toutes les filles aient tout de suite envie d’aller se serrer contre son torse musclé.
Bien, commençons. Je vais introduire le sujet avec quelques détails de base, mais non moins important. Juuki Akatsuki mesure donc 1m82, ce qui est plutôt grand pour un garçon dont la moitié de son patrimoine génétique provient d’un homme qui ne dépassait pas le 1m73, mais bon, ça s’explique avec la maman qui elle, tapait bien dans le 1m78, taille idéal pour un mannequin, vous me direz. Et il pèse dans les 78 kilos, et ce n’est que du muscle. Bon, doit y avoir un peu de graisse, mais ce n’est que le minimum de survie. Oui, Juuki pourrait être mannequin pour sous vêtements, avec ses abdominaux bien dessinés et sa taille en V, mais ce n’est pas trop son délire.
Bien, passons à ce qui pourrait sembler le plus important. Le visage. Car oui, comme toutes les personnes normalement constituées, il en a un. Et pas moche en plus. Sa peau est aussi blanche que de la neige, bien qu’un peu rosé au niveau des pommettes, car non, Juuki ne s’appelle pas Edward et il ne ressemble pas à une boule à facette dés que le soleil vient caresser sa frimousse. Bon, ne nous éloignons pas trop. Il possède donc un visage plutôt fin, pourvut de lèvres roses tout à fait désirables et d’un petit nez droit. Si on parlait de ses yeux. Ils sont bridés, comme l’étaient ceux de son père, mais d’une couleur sensationnelle. D’un brun clair très doux, comme du caramel, aux reflets qui pourraient être dorés. Il est donc impensable de rester de marbre face à quelque chose comme ceci, surtout s’il vous adresse son célèbre regard charmeur. Ses cheveux maintenant ! Alors, on ne sait pas trop s’ils sont bouclés, ondulés ou lisse, peut-être les trois à la fois. Il les tire souvent en arrière, avec quelques mèches qui lui retombent sur le front et devant les yeux. Derrière son crâne, ils sont courts et s’arrête en haut de sa nuque. Mais c’est leur couleur qui est fascinante. Ce n’est pas roux, ce n’est pas orange, c’est roux très clair, tirant presque sur un orange clair, et le pire dans tout ça, c’est que c’est sa couleur naturelle. Il était certes blond jusqu’à ses un an, mais après il a commencé à devenir roux, et le même genre de roux que sa génitrice. Etonnant, non ?
Bien, son look vestimentaire maintenant. Eh bien, étant multi millionnaire, on ne peut pas dire qu’il s’habille mal. Il porte très souvent des pantalons et des jeans (tous de marques) avec des chemises (toutes de marques elles aussi) ou des polos. Enfin bref, vous l’aurez compris, Juuki Akatsuki est classe.
Et sinon, il a un tatouage. Assez… gros. Il s’agit en fait d’une croix autour de laquelle s’enroule un serpent. Ce symbole gravé dans la chaire de son dos, il ne l’a pas fais par plaisir. Non, ce tatouage, n’est que la représentation de son enfer personnel, de son « métier ».
Bien, passons donc à la psychologie de notre cher ami.


Caractère: Je pense qu’il y a deux, trois choses importantes à savoir sur la psychologie du rouquin. Pour commencer, il est ce qu’on peut communément appeler « un coureur de jupons ». Car oui, ce beau gosse sait user de ses charmes pour attraper les filles qui l’intéressent. Et il adore ça. Il se sait irrésistible, et il en profite.
Deuxièmement, il a beau être charmeur, il n’en est pas moins intelligent. Ce n’est ni un surdoué, ni un petit génie, on peut juste dire qu’il est plus malin, dégourdit et cultivé que les jeunes de son âge. Car quand on fait un métier comme le sien, il faut être débrouillard, car sinon, on se fait manger tout crus. Et, il faut aussi être polyglotte, bien entendu. Voilà pourquoi notre cher roux sait couramment parler anglais, japonais, français, chinois, russe et un petit peu coréen.
Troisièmement. Juuki, est un animal a sang chaud, voir bouillant, et il s’énerve donc très vite. C’est un de ses petits défauts. A quoi reconnait-on qu’il est en colère ? Eh bien, il serre les poings et les dents et il se met à lancer un flot de jurons. Il peut même aller jusqu’à renverser dans meubles ou taper dans des murs lors de ses grands élans de rage.
Bon, et pour finir, Juuki est bien un tueur, mais il n’est pas un monstre. Il ne tue que s’il y a salaire à la clef, ou bien, en cas d’extrême urgence. Ce qu’il aime par-dessus tout ? Sa famille, enfin, le peu qui lui reste, et sa meilleure amie, Razielle. Il tuerait sans hésiter pour eux, et la première personne qui ose faire du mal à un d’entre eux… elle finit en pâtée pour chat.
Donc voilà, vous avez affaire à un dragueur invétéré au caractère explosif… Bon courage.

Histoire: Juuki est né à 00h08 un 8 décembre, dans une clinique de Dublin. Sa mère, Scarlette Akatsuki née McAfferty, mourut en couche, ce qu'il fait qu'il ne connut sa génitrice que sur photo. Il fut donc élevé par son père japonais d'origine, Matsumoto Akatsuki. Ils vivaient tout les deux dans la manoir des Akatsuki, se situant entre une forêt et un lac, perché sur une colline verdoyante à quelques kilomètres de Dublin.
Matsumoto était un grand homme d'affaire, travaillant beaucoup avec l'armée en assurant que les armes étaient bien livrées aux bons endroits. Il était aussi un grand collectionneur d'arme en tout genre, Juuki, qui signifie en japonais "arme à feu", appris dés son plus jeune âge à manier toute sorte d'arme, allant du sabre à la mitraillette en passant par le nunchaku.
Mais Matsumoto n'était pas blanc comme la neige, si bien que le jour de ses douze ans, Juuki vit surgir dans la propriété des mafieux Russe, disant vouloir régler leurs comptes avec son père qui les avaient arnaqué avec des kalachnikovs défectueuse. Ce jour là, Juuki vit son père, ainsi que tout le personnel du manoir, mourir sous ses yeux. Les mafieux voulurent se débarrasser de lui aussi, mais Juuki survécu à ses blessures, bien qu'il passa plusieurs mois dans le coma. A son réveil, un huissier vint le voir disant qu'il héritait de toute la fortune de sa famille ainsi que du manoir et de l'entreprise de son père.
Juuki était seul, riche comme la mer, mais seul. Il ne remit pas les pieds au manoir avant ses seize ans, vivant pendant se temps avec une vieux couple qui l'avait adopté, prétendant être de bons amis de son père. Il les aimait énormément. Ces deux personnes qui ne connaissaient rien de lui l'avaient traité comme leurs propres fils pendant quatre ans. Mais Juuki avait décidé de faire revivre le manoir comme au temps où il y vivait, le faisant repeindre et arrangé, remettant les 68 pièces en état grâce à son héritage assez conséquent. Il revit aussi la vieille collection de son père et il se découvrit une passion aussi grande que celle de son géniteur pour ses armes qui avait toute appartenu à des membres de sa famille. Mais préférant les canons à poudre, il remit en marche celui de son aïeul. Mais voilà que la remise en état du manoir avait finit de faire disparaitre la fortune des Akatsuki. Juuki prit alors une grande décision qui allait changer sa vie. Devenir le plus respectueux, classe et propre des tueurs à gage. Et depuis un an, il s'escrime à la tâche, étant connu dans les services secrets irlandais et britannique sous le sobriquet de "Casanova" car parmi ses victimes, on comptait aussi bon nombre de coeur brisé.
Et grâce à son travail, il réussit à rendre à la fortune Akatsuki tout son clinquant, faisant finir les travaux du manoir et montant ainsi à la troisième place des personnes les plus riches d'Europe, mais la plus jeune aussi. Mais personne ne connait sa deuxième personnalité, dans les soirées mondaines et dans son entourage, il reste le beau et respectueux Juuki.
Juuki possède plusieurs villa et appartements dans le monde entier. Un à New-York, Chicago, San Francisco, Los Angeles, Sydney, Rome, Paris, Tokyo, et aussi une grande et somptueuse villa sur les rives du Lac de Come en Italie, non loin de celle de George Clooney, où il aime y conduire ses conquêtes. Malgré son enfance malheureuse, il vit désormais une double vie très heureuse, jonglant entre la soirée chez Paris Hilton ou le chanteur japonais Gackt, et ses sanguinolents meurtres.
Mais Juuki reste tout de même un adolescent, adolescent qui ressent toujours une grande solitude, la noyant avec une cigarette Marlboro et une coupe de champagne Cristal.

Teste RP :


Le manoir des Akatsuki était une grande bâtisse composé de soixante huit pièces sur deux étages. Datant da la fin du XIXème siècle, cette maison a vu défiler bon nombre de personnalités importantes. Située au sommet d’une colline, elle surplombe la vallée entourée de forêt et d’un lac à l’eau cristalline. Mais en ce jour, ce lac était gelé, et toute la verdure qui peuplait l’endroit était saupoudrée d’une neige immaculée. C’était un coin on ne peut plus tranquille, étant assez éloigné de la capitale irlandaise, et Mr Akatsuki et son fils aimait y couler des jours heureux. Matsumoto Akatsuki était un puissant homme d’affaire, travaillant pour les livraisons d’armes à l’armée, il aimait aussi en collectionner et en posséder de toutes les formes, partant du katana à la mitraillette en passant par les canons à poudre. Il avait appris à Juuki, son fils unique, à les manier. Le jeune adolescent fêtait aujourd’hui son douzième anniversaire, et il était aussi excité qu’une puce. Malgré son jeune âge, Juuki était doté d’une grande intelligence et d’une beauté saisissante. Ses yeux bridés brun clair pétillaient d’une malice infantile, ses cheveux orange retombait devant ses yeux, son teint blanc comme la neige qui tombait au dehors semblait scintiller. Juuki n’avait jamais connu sa mère, elle était morte en lui donnant la vie. Mais son père lui en parlait beaucoup. Il disait qu’elle était aussi belle qu’un ange et d’un caractère bien trempé, si bien que lors de leur premier rendez-vous, Matsumoto avait finit à l’hôpital avec une arcade ouverte parce qu’il avait malencontreusement frôlé la poitrine de la jeune femme avec sa main.
Alors que Matsumoto était tranquillement installé près de la cheminé du salon, un bouquin posé sur les genoux, Juuki déboula en trombe, son chiot noir et blanc dans les bras.
__ Papa, papa, papa ! Je peux aller jouer dehors avec Dororo ! Demanda le jeune garçon en japonais.
__ D’accord, mais pas d’imprudence et couvre toi. Et surtout, tu n’approches pas du lac !
__ Promis !
Puis le jeune garçon partit comme une flèche, allant enfiler manteau, bottes, gants et bonnet. Mary, la gouvernante, lui ouvrit la lourde porte de bois et il fila courir dans la neige, le chiot sur les talons. Son long manteau de laine noir lui tenait bien chaud, et il s’amusait à faire des ronds de fumée avec la buée qui s’échappait de ses lèvres, prenant ensuite Dororo dans ses bras, il courut jusqu’au parc qui se trouvait derrière la maison. Alors que Juuki s’amusait gentiment avec son chien, il entendit du bruit dans la maison. Il s’approcha silencieusement d’une fenêtre qui donnait sur le salon. Et ce qu’il vit lui glaça le sang. Mary était allongé par terre, au beau milieu d’une flac de sang. Des hommes tout de noir vêtu braquait une arme sur son père installé dans un fauteuil. Matsumoto semblait calme malgré cette menace. Il tourna la tête vers la fenêtre, faisant un sourire triste à Juuki, lorsqu’un coup de feu se fit entendre. Juuki cria en voyant son père glisser du fauteuil en tombant au sol. Les étrangers présents dans le salon tournèrent alors la tête vers lui. Juuki n’entendit pas ce qu’ils dirent mais il se doutait que ce n’était pas bon pour lui. Refoulant sa peur et ses larmes, le jeune garçon partit en courant, s’enfonçant dans la forêt, son chien dans les bras. Mais il entendait les pas précipités des hommes qui le suivaient. Ces hommes qui avaient assassinés son père. Alors qu’il était déjà bien enfoncé dans la forêt, il cessa de courir, cherchant une cachette. Il trouva un creux dans le tronc d’un arbre et s’y cacha, fermant les yeux et priant pour qu’on ne le retrouve pas. Les pas se rapprochaient de plus en plus. Juuki serra fort son chiot dans ses bras.
__ N’ait pas peur Dororo, je suis là.
Mais le chiot bondit soudain des bras de Juuki, partant en courant. Le garçon entendit alors les hommes parlaient dans une langue qui lui était inconnu mais qui ressemblait beaucoup à du Russe. Juuki qui avait gardait les yeux fermés, entendit des coups de feu et un glapissement. Mais il ne bougeait pas, il était mort de peur et était totalement incapable de faire le moindre mouvement. Il entendit alors une voix, tout près de lui, bien trop près d’ailleurs. Il ouvrit lentement les yeux et remarqua la silhouette imposante d’un homme, posté juste en face de lui. L’homme lui souriait, d’un sourire effrayant, qui vous en glace direct le sang. Juuki retint un sanglot, lorsqu’il sentit quelque chose de froid se poser sur sa tempe. Ça avait tout l’air d’être le canon d’une arme. Juuki ne bougea pas, lorsqu’il entendit le déclic particulier que produit une arme à feu lorsqu’on la charge. Juuki inspira profondément, ferma les yeux, et laissa une unique larme rouler sur sa joue.
Dans la forêt, on entendit raisonner un nouveau coup de feu, faisant s’envoler les oiseaux. La neige se tâcha de rouge, et le corps frêle d’un petit garçon s’écroula au sol, ses cheveux orange clair retombant sur son visage. Les hommes quittèrent la propriété aussi vite que possible, laissant là le petit être que l’on aurait put croire endormit, si une auréole rouge ne se formait pas autour de lui.

Dans le journal du lendemain matin, il fut dit qu’une tuerie avait eut lieu dans la propriété des Akatsuki, que le père et tout les personnel avaient été retrouvés mort dans le manoir, mais que le petit Juuki Akatsuki avait été retrouvé dans la forêt, une balle dans la tempe, le cadavre de son chiot non loin de lui. Mais ce que le journal disait tout particulièrement, c’était que le jeune garçon de douze ans avait miraculeusement survécut, et qu’il était dans un coma profond à l’hôpital de Dublin. L’information avait fait le tour du pays, et de l’Europe aussi. Tous priaient pour que ce petit bonhomme dont-ils ne connaissaient rien, se réveille.
Quelques six jours plus tard, Mr Matsumoto Akatsuki fut inhumé dans un cimetière de Dublin, aux côtés de sa femme décédée douze ans plus tôt. Mais le petit Juuki n’était toujours pas réveillé, et les médecins restaient septiques sur son état, bien qu’il soit stable. Car, même s’il se réveillait, où irait-il ? Il n’avait plus de famille. Décidément, le sort s’acharnait vraiment sur lui.